Le temps passent,
Et les mariages s'installent,
Comme s'ils s'effaçaient,
Tous semblait accéléré,
Le temps faisait tic, tac,
Et les cloches sonnaient douze fois,
Marquant l'ancienne journée achevée,
La suivante arrivée,
Comme un automatisme qui se répètent,
Ils ne cessera de sonner,
Qu'après ses douze coups effectués,
Qu'après avoir marqués les oreilles éveiller de la nuit,
Jusqu'atteindre le cœur desséchées,
Pour verser l'océan d'une pureté,
Celle de l'espoir qui uni,
Ainsi que la mélodie qui assemble,
En compagnie du soleil qui attire,
Pour montrer que le bonheur n'étais qu'une facette,
Pour effectuer une renaissance,
Pour les sentiments qui étaient contradictoires,
Pour prouver l'amour parfait.