Salutations retourné, très cher aimé,
Il est hélas effectivement loin de temps où nous discutâmes sur un banc quotidiennement. Ma survie est précaire, mais je contrôles tout de même ses aléa, vous me connaissez. Pourtant, votre présence autrefois permanente à laisser une place vacante à mes côtés. Et j'espère que la place que j'occupais ne laisse pas trop de vide à vos côtés comme la vôtre le fait avec moi.
T'inquiète, je vais pas te laisser comme ça, t'embêter me manquerait trop.
PS: heureusement ! J'arrive encore à te reconnaître ! *je me détourne, outré, de manière tout autant théâtrale*