Première rencontre.

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*bip bip bip*

Mon réveille sonna, affichant l'heure, 6 :30 du matin. Argh qu'elle bruit assourdissant vient me déranger en pleine heure de gloire ?

(t/p) : « gngrff »

Le bruit du réveille devenait de plus en plus fort, signifiant que je quittais petit à petit mon petit berceau imaginaire. Étant en train de rêver de mon futur héroïque, je pris mon coussin, le mis sur ma tête et le pressa désespérément espérant faire taire ce bruit parasite. Mais à mon grand désespoir, il continua sa mélodie infernale, encore, et encore.

Lassée par cet enfer, je jetai mon oreiller dans sa direction, espérant l'atteindre et, par le plus grands des miracles, casser une bonne fois pour toute cet objet de torture matinal.

Après l'avoir jeté, je frottis mes yeux pour éclaircir ma vision. Je jetai un coup d'œil en direction de ma table de nuit, et je le vis, mon réveille, il était dans le meilleur des états, et surtout, IL CONTINUAIT DE SONNER BORDEL ! Avant toutes choses je partis l'éteindre en laissant sortir un soupir d'exaspération.

Réveille 1 - (T /p) 0

Après l'avoir éteint, je repartis dans mon lit croyant pouvoir continuer ce rêve, cette vie que j'espérais tant. Mais comme vous vous en doutez, la chance à fait que ce soit impossible. (coup dur pour (t/p) ;-;) En reposant ma tête sur le lit, je me rendis compte d'un détail. L'oreiller n'était pas du côté de la table de nuit, alors, oh nan. Je me levai dans la plus grande des panique et vérifiai les alentours de la table de nuit, mais, comme je le pensais, aucune traces de l'oreiller à cet endroit. Puis je tournis lentement ma tête vers l'autre côté de mon lit craignant le pire, et c'est alors que je le vis.

(t/p) : oh.. BORDEL !!

Mon cadre en verre éparpillé en mille morceaux, sur mon bureau, contenant l'orthographe du numéro 1 et surmonter de mon cher oreiller, rahhh nan. (Bon, niveau chance ça commence bien eh eh ;-;) L'orthographe du numéro 1, du plus grand, All might , celui que mes parents avait mis tant de temps à avoir. A cause du réveille, je n'avais surement pas entendu l'impact. Rahh, ça me fout en rogne. En cet instant je n'avais qu'une pensée m'envahissant l'esprit. J'allais morfler sévère si mes parents parvenaient à découvrir le cadre, du moins, ce qu'il en reste. Je me calma et me posa, analysant la situation. Et c'est alors qu'une idée me traversa l'esprit. Tel la bricoleuse que je suis, je me dis,

(t/p) : Bon, opération remplacer le cadre par un faux, activée !

Je jetai un rapide coup d'œil à l'heure sur mon téléphone, placé sur le bureau et qui affichait 6:38 du matin. Mes parents reviennent vers 7 heures, ce qui me laisse approximativement 22 minutes pour cacher le cadre cassé, le remplacer par un nouveau, et imiter la signature du numéro 1.

(t/p) : Arggh, c'est short.

A deux doigts d'abandonner tout espoir, mon esprit d'héroïne refit surface tel All might qui refait surface aux moments critiques et me dit « les héros n'abandonnent jamais ». Et c'est sur ces belles paroles que ma flamme intérieure ce raviva. Puis, je me mis au travail sans attendre une seconde. Pas te temps à perdre !

//Une fois l'opération terminée//

Après avoir finis, j'eus à peine le temps de me préparer que 7 heures était déjà passé. Je pris mon sac à dos et, biscotte à la bouche, partis sur le chemin du collège. Je savais pertinemment que j'avais ratée mon bus car cela ce répétait tous les matins de cette année eh eh. Mais ce n'est pas ça qui aller me décourager ! Je commençai à courir prenant mes jambes à mon coup. Traversant les routes imprégnées d'air matinal, me fouettant le visage et me ravivant l'esprit. Cette sensation, je ne pourrais jamais m'en lasser, elle me réveillait et me faisait me sentir bien.

Avenirs liés | Shoto x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant