6 Mois Pour Toi !

Je T'apprend À Vivre...

               2 mais 2009

Le lendemain matin. Hardin était réveillé avant moi, il y avait un inconnu dans le salon, c'était un homme de la trentaine avec des cheveux noirs.

Hardin-- salut. En levant les yeux de son bouquin

Moi-- bonjour... C'est qui ? En doitant l'homme un peu extravagant.

Hardin-- c'est le styliste qui viendra t'habiller lors des grands événements. Monsieur Joshua.

Moi-- bonjour monsieur joshua . Dit je en m'approchant de lui.

Josh-- bonjour mademoiselle mais appellez moi Josh.

Moi-- compris Josh. Avec un sourire.

Je l'ai invité dans ma chambre. Nous nous sommes mis à faire des essayages. En fin de compte il à trouvé ce qui était selon lui  «  une robe à en faire pâlir la reine » j'ai rigolé à sa remarque.

Hardin m'a dit qu'il avait des choses à régler au palais et est parti. Pendant ce temps j'ai décidé de faire le tour du propriétaire. je me suis baladé dans la forêt. Après de longues minutes de marche je tombe sur un lac...
Je ne l'ai pas dit avant mais je suis folle des lac ! Je ne sais pas pourquoi mais je les adore. Alors sans hésiter j'enlève mes chaussures et ma robe bleue saute dedans, je m'y sentais tellement bien. Après une demie heure natation , j'ai décidé de continuer ma route. Je me suis rendu en face des écurie.

Je n'avais jamais fait de cheval avant, mais pour une raison que j'ignore je voulais tenter le coup. Je me suis approcher du cavalier.

Moi-- bonjour j'aimerais avoir une monture s'il vous plaît. En m'approchant de lui.

Cav-- bien sûr mademoiselle...
   
           Il s'en alla et revenu accompagné d'un cheval blanc, j'arrivais pas à monter dessus. Puis j'entendis quelqu'un crier au loin.

??-- detand toi !

   C'était hardin...

Moi-- tu pense que c'est facile ? En soulevant mon sourcil

Hardin--je ne pense pas que c'est facile, C'EST facile. Avec son aire hyper blasé.

Moi-- j'aimerais t'y voir moi ! Avec un aire provocateur.

Hardin-- comme tu veux.

          Il enleva sa veste et sa cravate et resta en chemise qu'il  détache de trois boutons puis se retourne et me dit : « regarde et admire  ».  galopant à toute allure, laissant le vent caressé ses cheveux noirs, des yeux verts d'une profondeur abyssal, sa peau était un peut pâle mais il avait cet aire impassible qu'il arborait tout le temps comme pour cacher un profond mal être.

      J'étais dans mes pensées quand une main se plaça devant moi.

Moi-- hardin...

Lui-- monte tu ne vas pas mourir. Il m'a fait un petit sourire.

Il a un de ces sourire ! Calme toi.

Moi-- d'accord.

   Je pris sa main sur et grimpa sur le cheval. Ça me faisait un peu peur

Lui-- calme toi, tout ira bien, je suis là.

  Je me sentis apaiser d'un coup et je m'accrochai à lui.

Lui-- ne me brise pas une côte. Avec un ton moqueur.

Moi-- révélation "mon prince" à de L'humour. en me foutant de sa gueule.