Le Tatouage

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Nous sommes dans un salon de Tatouage, et les gardes nous cherchaient dans le secteur. Hardin avait l'air d'être captivé par les différents tatouages. Il avait les yeux rivé sur le Tatouage que se faisait un homme.

Moi-- hey... T'en veux un ? En mettant ma main sur son épaules.

Hardin-- non... J'ai... Pas le droit. En baissant les yeux.

Moi-- et ?! ...  ça n'a jamais été une raison valable pour moi. En souriant

Hardin-- que veux tu que je te dise dans ce cas ? En relevant sa tête

Moi-- ce que tu veux vraiment...

Je pose sa main sur la joue et le regarde dans les yeux.

Hardin-- je... J'en voudrais un. En détournant le regard, il était rouge de gêne.

Il avait l'air si vulnérable d'un coup, c'est si... Mignon .

À cette pensée je me mord la lèvre inférieur.

Moi-- O. K on vas t'en faire un et je ferais le même, D'accord ?

Hardin-- ça marche ! En reprenant de l'assurance

Il se lève et nous nous dirigeâmes vers l'accueil. Après 15 secondes il a décidé de nous faire tatouer une couronne
À nos annuaires respectifs. Je me suis lancé en premier.

Quelques minutes plus tard... Les aiguilles du tatoueur me transperçaient la peau, c'était tellement douloureux que je ne pouvais pas m'empêcher de pousser des cris de temps en temps.

Hardin-- arrête de te plaindre pour un petit Tatouage.

Il était dans le coin de la pièce à lire un magazine.

Moi-- ça fait hyper mal t'as pas idée.

Il s'approche de moi et me tend sa main

Hardin-- tu n'as qu'a serrer ma main quand ça fait mal

je la prise hésitante, il sourit légèrement.

     Après beaucoup de douleur plus tard. La couronne était enfin finie. C'était son tour. Il a pris place sur la chaise en cuir, et au premier coup d'aiguilles je m'attendais à un crie, un bruit, au moins quelque chose. RIEN. Il n'as pas bronché, il s'est lentement retourné et m'a regardé avec un air blasé, comme un  «  c'est pour ça que tu criais ? », je fis une mine boudeuse jusqu'à la fin de son Tatouage.

Moi-- hardin... Toujours avec ma mine boudeuse

Hardin-- oui

Moi-- pourquoi une couronne ?

Hardin-- ça saute pas au aux yeux ?... En se relevant de la chaise pour me faire face.

Moi-- je sais... Toi tu es prince, mais quand tu as choisi je suis sur que tu a cherché quelque chose de représentatif pour nous deux... N'es pas ? En levant les yeux vers lui.

Hardin-- oui...

Moi-- alors je te redemande... Pourquoi une couronne ? En me rapprochant un peut plus de lui.

Hardin-- parce que je suis sur que un jour. Il met sa main sur ma joue. Tu auras une couronne en mon nom.

      Il s'est lentement approché de ma bouche, et là les gardes sont entrés en fracas dans le salon ce qui nous a fait sursauter.
Il nous ont sortis de là et nous ont ramené à la voiture. Et nous sommes rentrés au palais dans un silence morbide. Mais malgré ça, ce bonheur qu'on n'a vécu et qu'on ne peut extérioriser était l'essentiel de notre escapades.

                 3 mai 2009

    Le lendemain pour la première fois, je me suis réveillé en premier . Il pleuvait et mon simple pull long ne me protégeait pas beaucoup de la fraîcheur .
Je me suis rendu à la cuisine où pour la première fois depuis mon arrivée ne s'y trouvait pas de ménagère, je me suis fait un café et me suis assise sur le canapé qui se trouvait près de la fenêtre. Je regardais les gouttes de pluie longer les vitres quand un souvenir a refait surface.

(flash back)

Ce jour là était pluvieux. je n'aimais pas beaucoup la pluie. Ma mère n'en pouvais plus de me voir bouder alors elle m'a dit :

-- mon cœur prend ton manteau on sort

-- je ne veux pas !

-- aller... Je te promet qu'on va s'amuser.

        Elle me tendit sa main. Je la prise. Nous sommes sortis de la maison et nous sommes retrouvé dans notre immense cour. Et là ma mère me dit avec un sourire des plus malicieux:

-- viens je te montre un endroit secret.

   Je l'ai suivi et nous nous sommes retrouvé près d'un lac, il pleuvait des cordes. Je n'eut pas le temps de comprendre que ma mère se trouvait à l'intérieur et elle nageait , elle tapait la surface de l'eau elle pataugeait comme une dingue.

Elle avait l'aire si heureuse...

Elle me tendit sa main et me dit :

-- aller... Viens je te promet que c'est drôle

Je suis entrés dans le lac et nous nous sommes mises à jouées comme l'enfant que j'étais et l'enfant qu'elle était redevenue.

Des bruit de pas me ramène à la réalité.

Moi-- bonjour Hardin... Bien dormi ?

Hardin-- comme un charme, je me suis réveillé avec une envie de danser...

Moi-- tu n'as qu'à mettre de la musique sur ton téléphone. En prenant une gorgée de mon café.

Hardin-- je n'ai pas de téléphone. Avec un ton sec.

Moi-- je recrache mon café. C'est faux... Arrête. En affichant un rire moqueur

Hardin-- je suis sérieux.

Moi-- d'accord met de la musique sur mon téléphone

Je me suis mise à feuilleter ma play liste jusqu'à la chanson de Bruno mars *i was your Man *. J'aime beaucoup cette chanson. Il m'a dit d'approcher.

Moi-- non ! Je sais pas danser. En me reculent.

Hardin-- je m'en fiche, viens je t'apprendrais . En me tirant vers lui.

Moi-- OK mais ne te plaint pas après.

     Il m'a mis en position de danse, et s' est mis à bouger. Je l'ai écrasé le pied trois fois, et peu à peu la cadence est arrivé. Et je ne me concentrais que sur les paroles et sur le corps de Hardin. Vers la fin de la chanson il m'a dit :

Hardin-- tu n'es pas si nul que ça en fin de compte

Moi--oui je sais je suis parfaite. En déposant ma tête sur son épaules.

Et ceci marquait la fin de la chanson.

6 Mois Pour Toi ! Où les histoires vivent. Découvrez maintenant