6 Mois Pour Toi !

Qu'es Qu'il Se Passe ?

                                     10 août 2009

Deux mois ...

Deux mois où hardin n'avait pas posé le pied hors de sa chambre. Deux mois où je n'avais pas eu la moindre discussion avec lui. Deux longs foutus mois où je ne l'avais pas vue sourire. Je n'en pouvais plus !! Son médecin m'avait strictement interdit d'entrer dans sa chambre.

       J'étais déjà resté seul , l'idée seul ne m'avait jamais déplu... Au contraire, mais ce fut la première fois dans ma vie où l'absence de quelqu'un me lésait un tel vide.

J'étais assise sur les escaliers à réfléchir sur ce qui ce que je devrais faire... J'entre... Non j'entre pas... Mais si j'entre je pourrais savoir pourquoi il est enfermé... Mais le médecin m'a interdit d'entrer ça pourrais le mettre en danger... Ou pas.

      C'est décidé j'entre. Je me dirigeais alors d'un pas décidé vers sa chambre. Devant la porte je me remets à hésiter...

Non ! Tu dois entrer !

J'ouvre lentement la porte et fait passer ma tête pour analyser la pièce. Hardin était allonger sur son gigantesque lit trois places en regardant le toi, les mains sur son ventre.

Moi-- hardin... En entrant totalement et en refermant la porte

Lui-- tu fais quoi là j'ai pas droit au visite. En se mettant en position assise.

Moi-- qu'es qu'il se passe ? En venant m'asseoir sur son lit.

Lui-- rien maintenant sort ! Avec son ton sec habituel. Mais n'empêche, il me mentait.

Moi-- rien. Avec un rire ironique. Donc c'est pour rien que t'a passé deux mois sans mettre un pied dehors !? Pour rien que j'ai passé deux foutus mois à m'inquiète !? Non non non hardin je suis pas crédule... Alors parle. En reprenant plus calme.

Lui-- je... Il souffle un bon coup et reprend. Mon espérance de vie a diminué de moitié, je quitte de 1 an à 6 mois à vivre. Il a gardé les yeux baissé tout au long de sa phrase.

Je me suis mise à le regarder, et sans comprendre pourquoi... Je l'ai embrasser, il ne restait immobile sur le moment mais ensuite, me tint par la taille pour rapprocher mon corp du sien. Ce baiser était un peu comme Se sentir comme submergé par une sensation presque indescriptible, c'est comme si la boule au ventre que l'on a quand on est amoureux explosait pour nous recouvrir et là le temps s'arrête et plus rien ne peut nous arriver : nous formons une ombre, nous sommes plus fort, c'est tellement puissant, nous sommes une âme...

         Après ce moment inoubliable, hardin me caresse la joue et en retire une de mes larmes, j'y crois pas... je pleurais.

Moi-- bon d'accord, lève toi ! On sort. En essuyant mes larmes et en lui cherchant des habits dans le dressing.

Lui-- mais j'ai pas le droit.

Moi-- je te le dis toujours, pour moi c'est pas une raison valable. En lui balançant des habit.

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Enfin un chapitre court 😂😂😂