Haikyuu préférences/One Shots

Votre premier baiser

Hinata :
Un matin, il est venu sonner chez toi pour que vous fassiez le trajet ensemble jusqu'au lycée. Lorsque tu as ouvert, la première chose chose qu'il a fait est t'embrasser, puis étirer un grand sourire. Ton père s'est étouffé avec sa tartine de pain.

Kageyama :
Jamais tu n'aurais imaginé qu'il était capable d'une chose pareille. Il venait de te lancer une pique qui a eu pour but de t'énerver, et tu t'es mis.e à essayer de répliquer férocement pour qu'il s'excuse. À la place, il a lâché un soupir las et a posé ses lèvres sur les tiennes, pour te faire taire. Et magie : ça a marché.

"T'es mignon.ne quand tu te tais."

Daichi :
C'était toi. Aucune justification. Tu en avais juste envie.

Asahi :
Eh bien c'était lui, surprenament. Tu riais, et va savoir pourquoi, il a commencé par embrasser ton front. Tu es resté.e interdit.e un moment, mais tu as continué de sourire. Timidement, il est descendu jusqu'à tes lèvres et les a doucement effleurées. Il s'est ensuite vivement reculé pour observer ta réaction, ce qui n'a fait que te faire rire encore plus.

Suga :
Tu venais de terminer ta journée. La plupart de tes camarades de classe rangeaient leur affaires pour rentrer chez eux, et ton professeur était déjà parti. Vous n'étiez désormais pas plus de cinq dans la classe, encore en train de vous acharner sur ces satanées formules de chimie. Tu as soupiré en laissant tomber ta tête en arrière, et Suga en a profité pour se poster derrière toi. Il a posé ses mains sur tes joues et t'a embrassé.e délicatement.

"Évite de te griller les neurones, je te veux intact.e."

Nishinoya :
C'était un jour de stress intense. Pourquoi ? Parce que Karasuno jouait contre Shiratorizawa en finale des tournois interlycées. Tu t'étais discrètement faufilé.e dans les gradins avec Oikawa et son ami Iwaizumi. Tes yeux étaient rivés sur Noya, que tu n'avais pas vu depuis quelques semaines. Son jeu s'était nettement amélioré, et son équipe avait fait des progrès fous en si peu de temps. Le jeu s'est fait en quatre sets, et à ta plus grande joie (clairement pas celle de ton frère), ils ont gagné. Tu n'as pas attendu et tu t'es dirigé.e vers le terrain au pas de course. Lorsqu'il t'a vu.e, son adorable sourire a illuminé son visage. Tu t'es réfugié.e dans ses bras pour le féliciter. C'est là qu'il t'a embrassé.e.

"T'es le meilleur, champion."

Tsukishima :
Pour un 97% en maths. Oui, juste pour ça. Mais honnêtement, il t'avait tellement vu.e bosser dur pour la décrocher, cette fichue note, qu'il était presque aussi soulagé que toi d'apprendre que tu avais réussi cet examen, même si c'est à se demander si ce type n'est pas une machine parfois, tellement il camoufle ses émotions avec une telle aisance. Tu lui as collé la feuille d'examen sous le nez, avec un sourire greffé sur ton visage. Il a remonté ses lunettes comme un geek avant d'esquisser un sourire, puis a rapidement posé ses lèvres sur les tiennes, sans rien dire.

Yamaguchi :
Il te l'a volé comme ça, un matin. Il t'a après demandé s'il n'avait pas fait une bêtise, comme s'il se sentait coupable de ne pas t'avoir prévenu.e. Alors que, intérieurement, tu fondais.

Tanaka :
Tu étais entré.e à l'improviste dans le gymnase pour saluer Kiyoko et Tanaka, accessoirement. Ce dernier avait les yeux rivés sur toi, et s'est complètement déconcentré au moment où tu es arrivé.e. Le ballon qu'il s'est d'ailleurs pris en pleine figure a eu pour conséquence de te faire exploser de rire. Tanaka s'en est remis très rapidement et s'est dépêché de déposer un chaste baiser sur tes lèvres avant de retourner jouer. Tu étais pétrifié.e, ça a d'ailleurs fait ricaner Kiyoko.

"Tu veux de l'eau ?"

"J-je veux bien, oui."

Akaashi :
Il s'était énervé pendant son entraînement. Ça ne lui arrive que très rarement, mais ce jour-là, il ne réussissait rien, et ça semblait le mettre hors de lui. Il a fini par sortir du terrain sous l'ordre du coach. Tu ne savais pas trop comment réagir en sachant que c'était la première fois que tu le voyais comme ça, mais tu as décidé de t'approcher de lui, en bon.ne petit.e ami.e que tu étais. Tu as tenté de le rassurer avec tes mots, ce qui a semblé le calmer considérablement. Il a fini par prendre ton visage en coupe et t'embrasser une première fois, puis une deuxième, avant de retourner sur le terrain.

"Merci."

Bokuto :
Il était de très bonne humeur. Du genre, encore de meilleure humeur que d'habitude. Et à peine tu avais franchi le pas de la porte de ta salle de classe, il s'est jeté sur toi pour t'embrasser.

"En quel honneur ?"

"Bonjour !!"

Oikawa :
Oikawa est une personne possessive. Très possessive. Et le fait que tu aies commencé à parler aux joueurs de son club ne lui a pas plu, au départ. Alors pendant que tu discutais avec Iwaizumi, il s'est approché de vous comme si de rien n'était, puis a posé très rapidement ses lèvres sur les tiennes, juste pour montrer que tu lui appartiens. Tu avais trouvé ça bête, parce que c'était déjà évident, mais tu as quand même répondu au baiser.

Iwaizumi :
Tu venais de faire une remarque comme quoi Oikawa avait une super tenue aujourd'hui, juste pour le taquiner. Mais il s'est réellement vexé, et a croisé les bras comme un enfant en tournant la tête. Pour te prouver que tu blaguais, tu as posé tes mains sur ses joues pour les presser légèrement, et tu as déposé un rapide baiser sur ses lèvres, ce qui a eu pour effet de le faire devenir rouge tomate.

Kuroo :
Vous attendiez ce moment avec impatience, chacun de votre côté. Depuis que vous saviez que Karasuno était qualifié pour les nationales, vous trépigniez tous les deux à l'idée de vous revoir. Lorsque tu es sorti.e du bus, il t'attendait déjà. Et quoi de plus beau qu'un baiser pour des retrouvailles.

Kenma :
Comme souvent, vous étiez assis en tailleur devant sa télé de chambre, en coalition pour vaincre le dernier méga boss de Rayman, que vous avez recommencé des dizaines de fois. Pourtant ce jour-là, Kenma semblait beaucoup plus concentré sur toi que sur le jeu. Tu le voyais te jeter des petits regards furtifs, que lui seul sait faire. Est venu alors ce micro dialogue plus qu'adorable, qui vous a amené à votre premier baiser.

"... J'ai un truc sur le visage ?"

"Je peux t'embrasser ?"

Tendou :
Vous vous faisiez une battle de regard, et il a fini par s'approcher de toi pour coller ses lèvres sur les tiennes. Vive les approches bizarres de Tendou.

Suna :
Vous étiez chez lui, sur son lit, et tu t'amusais avec les cordons du sweat qu'il t'avait prêté, dans ses bras, ton dos contre son torse. Tu as simplement levé la tête pour lui sourire comme un.e gamin.e. Il a tout de suite compris ce que tu voulais. Alors il t'a volé un petit baiser, histoire de te faire plaisir. En vérité, il était content, lui aussi.

Osamu :
"La cicatrice", de Bruce Lowery. C'était ce que tu venais de terminer de lire avant qu'il ne sonne chez toi. À quel moment c'est légal pour un livre d'être aussi triste, d'abord ? Ce n'était clairement pas ta faute si tu ressemblais maintenant à un blobfish hors de l'eau. C'était la faute de Bruce, et de son scénario à la con. Tu n'avais jamais autant pleuré pour un livre de ta vie. Tu as ouvert à Osamu avec les yeux boursouflés, toujours dans ta phase d'ugly crying. Son visage s'est décomposé en te voyant, donc tu t'es empressé.e d'articuler quelques mots pour lui expliquer la situation (qui n'était pas si critique que ça en fin de compte). Il a ricané et t'a pris dans les bras, avant de t'embrasser tendrement. Et ça t'a fait un bien fou.

"Va me falloir une tonne de chocolat."

"J'ai vu ça."

Atsumu :
"Embrasse-moi". C'est ce qu'il t'a dit. Et crois-moi que tu ne t'es pas fait prier.

Kiyoko :
Tu ne savais pas trop ce que Kiyoko ressentait pour toi, en ce moment. Vous vous entendiez toujours aussi bien, mais elle n'était pas la meilleure pour montrer ses sentiments, et tu n'avais aucune envie de la forcer pour quoi que ce soit. Alors tu t'es décidé.e à aller lui parler, pour mettre les choses au clair. Elle n'a rien dit. Elle t'a juste embrassé.e, avant de partir, te laissant planté.e devant le gymnase, rouge comme une tomate.

Yachi :
Vous ne vous souvenez plus de votre premier baiser. Vous vous embrassez quand l'envie vous prend, vous êtes la simplicité à l'état pur.

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Hello tout le monde !

Petit conseil d'amie : Ne. Lisez. Pas. "La cicatrice" de Bruce Lowery si vous êtes sensibles aux écrits tristes. Je ne rigole pas. Je crois que je n'ai jamais autant versé de larmes de ma vie (sauf pour Banana Fish, mais vous avez compris)

Autrement, j'espère que vous allez toujours bien.

Bonne semaine !! <3