Numéro《 Vkook 》

chapitre 3

- Taehyung

Le grisé regardait le plus jeune qui avait capté toute son attention dès la première fois qu'il l'avait vu. Il s'était dit qu'il allait mettre cet magnifique homme dans son lit mais au fur et à mesure qu'il demandait aux gens qui était Jungkook : d'en apprendre plus sur lui, il s'était entiché du plus jeune malgré qu'il n'était jamais allé lui parler.

Mais ce soir, il avait pris son courage à deux mains - non pas qu'aller parler à quelqu'un lui posait un problème - et il était allé lui parler. Pas de la manière la plus normale mais d'une manière où il était sûr d'attirer la curiosité de Jungkook. Un homme comme lui devait se faire aborder par tout le monde mais il n'était jamais apparu avec quelqu'un à ses côtés montrant sans doute - d'après Jin - son caractère exigeant.

Il sirota une gorgée de sa boisson, se concentrant toujours sur les mouvements erratiques et humoristiques que Jungkook faisait sur la piste de danse.

« - qui est-ce que tu regardes comme ça ? » demanda doucement son meilleur ami, Jin, qui passa son bras autour de ses épaules.

Le grincheux grogna et le repoussa.

« - Oups ! » s'exclama-t'il.

Taehyung regarda le brun qui était toujours sur la piste de danse mais finit par ne pas pouvoir contenir son sourire.

Jin lui lança un regard rempli d'affection presque paternelle car il était rare que Taehyung montre autant ses sentiments, même pour un simple sourire.

« - alors avec Jungkook, ça se passe comment bien ? » demanda le plus grand.

Taehyung hocha la tête.

« - alors qu'est ce que fais-tu ici tout seul ? »

« - j'utilise ma créativité. » répondit-il simplement avant de s'éloigner.

Il s'approchait du brun dans une démarche féline.

« - je viens de découvrir que tu n'es pas très douée pour danser. Deuxième raison, imagine tout les belles choses que je pourrais apprendre de toi si tu me donnait simplement ton numéro. »

Jungkook se retourna mais, encore une fois, cet homme aux cheveux gris n'était plus là. Il allait, à force, commencer à penser que tout cela faisait peut-être partie de son imagination.