15 Ans de Différence ( tome 3 )

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.. MOUSSA DEAN ET DINAABEDA ....

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Après un long baisé et câlin

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Moussa Dean : Comme ça après le Grand boss (Dieu) c'est moi madame (sourire)

Dinaabeda : Vous même savez, contente que mes paroles aient pu vous parvenir

Moussa Dean : Je ne suis pas sûre d'avoir tout entendu mais je m'en contente

Dinaabeda : Est - ce que vous avez faim ?

Moussa Dean : En réalité non, tu peux me tutoyer tu sais, comme tout à l'heure

Dinaabeda : (grand sourire) Vous aviez entendu ça aussi ?

Moussa Dean : (sourire) Oui et sache que c'est partager à part le fait que si tu me perdais que tu refuses de reprendre ta vie étant encore très jeune, je ne suis pas égoïste à ce point tu sais .

Dinaabeda : Ça aurait été mon choix que j'aurais assumer pleinement, je ....

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Lui coupant par un baisé

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Moussa Dean : Je t'aime aussi

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Le regardant

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Dinaabeda : J'ai l'impression d'être dans un beau rêve et que je vais me réveiller

Moussa Dean : Je suis désolé que tu aies à vivre tout ça, sincèrement

Dinaabeda : Vous n'avez pas demandé à avoir cette vie, je suis plus que contente de la partager en plus de savoir que vous avez toujours tout fait pour m'épargner, ne vous inquiéter pas

Moussa Dean : Des questions à me poser madame Moussaaboubakar ?

Dinaabeda : Non, le plus important c'est que vous êtes ici avec moi, je prends tout aussi

Moussa Dean : Sûr que tu prends tout ?

Dinaabeda : (sourire) Je prends tout monsieur pour moi seule, absolument tout sans exception

Moussa Dean : (sourire) Hamdoulillah

Dinaabeda : (le fixant) Humm

Moussa Dean : Parle moi Abeda, je ne veux plus qu'aucun doute vienne nous gâcher notre vie de couple

Dinaabeda : Je n'ai plus de doute, je vous ai vue quelques heures avant votre réveil

Moussa Dean : Je le sais

Dinaabeda : J'ai aussi vu pleins d'autres choses qui ont répondu à certaines de mes questions, pour le reste je me contenterai de ce que vous me direz

Moussa Dean : (sourire) Et Allah sait le mieux , n'est-ce pas madame

Dinaabeda : Oui, comme on dit on ne se rends pas réellement compte de la valeur de ce qu'on a tant qu'on ne l'a pas perdu ou qu'elle ne sait pas éloigner

Moussa Dean : Yahanii, mayanii andantakèh , je l'avais ressenti le jour de la naissance des quintuplés

Dinaabeda : J'imagine que ça vraiment été dur pour vous de se dire que vous nous avez tous les deux perdus

Moussa Dean : Même à mon pire ennemie je ne le souhaite pas.

Dinaabeda : Est-ce qu'il y'a quelque chose que je dois améliorer entre nous ?