15 Ans de Différence ( tome 3 )

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Moussaahmed Kassim en multimédia
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.. Team Abdellatif et famille ...

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Après avoir raccrocher avec les frères de chez leur oncle Badr Diallo

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Matteo : Ce n'est pas une surprise, on s'y attendait un peu vue la réaction lors de la visite des enfants par là-bas et des différents appels que Salma Badr et Rougui Ba ont reçu de certaines cousines

Ses frères : Uhunh

Alejandro: Avec tous les différends ils veulent quand même se mélanger à nous

Nathan : Celà va de soit ayant échoué au près de nos soeurs et le cas de chez Misbao les ont encouragé à se manifester

Les autres : Uhunh

Alarik : Vous préconisez quoi ?

Jeffrey: Laissons les venir pour qu'ils s'en assurent par eux même, il faut prévenir les autres

- Baabi Aboubacar Kassim tu peux te charger de ta team, je vais appeler Ibrahim

Aboubacar Kassim : D'accord

Matteo : Je vais appeler Deanabdallah

Alarik : Je vais essayer de joindre Fernando en entendant

Alejandro: Dites les de chercher à se mettre en ligne je vais établir la conférence

Eux : Okay

Matteo: Ensuite on ira voir les Baaba, vous en pensez quoi ?

Les autres : Approuvés

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.. Team Dean - Moussaabdallah .....

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Réunit dans la salle de jeu : Les jumeaux Smith, les frères Davis de chez Nathan, Barry Abdellatif, Jeffrey Ibrahim, les Dean (Daoud et Barak), les Moussa Dean (Fisher et Diallo), Ismail Aboubacar, Moussa Badr et Moussa Deanabdellatif

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Luís Ahmed: Jason Badr

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Approchant ce dernier qui entrain de jouer au bowling avec Barry Abdellatif

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Jason Badr : Dis moi frangin

Luís Ahmed: Il faut que je te parle

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En même temps se dirigeant vers la sortie suivie de son frère

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Jason Badr : Le bruit te dérange ?

Luís Ahmed: Non ça va, ils arrivent

Jason Badr : Je le sais mais tu n'as rien à craindre, je t'ai déjà expliqué

Luís Ahmed: Oui mais tu connais comment fonctionnent nos pères, moi je compte aller leur parler au nom de tous, je commencerai par Baaba - kawou ici

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Se référant à Deanabdallah

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Jason Badr : (rire) Tu es vraiment fou toi

Luís Ahmed: Je ne suis pas fou

Jason Badr : C'était juste une façon de parler, je parlais au sens figuré