Fire demons

Chapitre 10

Inconnu.

Je suis l'officier Jefferson. Je suis à quelque mois de ma retraite tant bien mérité. On peut pas dire que notre poste de police marche à plein régime. Enfin dans se secteur de la ville. Dans les autres établissements, ils s'emmerde pas. Dans l'Est de la ville, depuis quelque année une groupe de motard a pris place au début très peu fréquentable, mais depuis quelque année l'amour frappe à leurs portes. Depuis L'Est est beaucoup plus calme, se sont un club qui protège leurs familles, parle de moto , font des fête et boivent. Ils se sont ranger.

Y a pas a dire mais une femme change la vie.

Ils continuent de protéger le secteur quand même alors ici c'est pas le saccage tout les jours.

Enfin sa! C'était encore vrai il y a deux jours.

Une putain de bonne femme, bourrée, mentant une raclée à une autre dans un bar. Rien de bien sérieux. Le problème? Madame Leslie Taylor veut porter plainte pour coup et blessure, menace de mort sur madame....

Voilà le problème! D'après la victime qui ne connaît pas cette dame. Et l'autre est tomber dans un mutisme total, depuis sa sortie de cellule de dégrisement hier.

Elle a passer une nuit et une journée en cellule est elle est ressortie toujours aussi bourré. Bourrée mais pas folle. Elle a reconnu les faits et les paroles. Impossible de lui faire cracher son identité pour le dépôt de plainte. En revanche.

Sans identité pas d'enregistrement à son nom. Étant donner que l'affaire est grave, elle ne peux aller en prison sans identité. Alors elle est là nourrit, loger, blanchie dans sa cellule au poste.

Putain, je suis trop vieux pour ses conneries...

- chef un dépôt pour disparition, vous le prenez?

- putain, tout pour m'emmerde aujourd'hui. J'arrive, installe les dans mon bureau.

- bien chef!

Je passe dans la petite cuisine me faire un café. Je me dirige dans mon bureau, ou je suis surprise de voir quatre hommes.

- Messieurs, je vous écoute !!!!!

Mathieu.

- je suis Mathieu président des fire demon's. Ma femme a disparue depuis trois jours aujourd'hui.

- d'accord vous pouvez m'expliquer la dernier fois où vous l'avez vu. Son identité , une photo serait bien aussi. Me répond l'officier de police d'une soixantaine d'année.

Je commence à lui parler de l'accident de ma sœur, de la dernière visite de Naya à Lola. Sa fuite. L'appel aux nounous.

- son téléphone est éteint, son véhicule a était retrouver à trois kilomètres de l'hôpital. Sur la grande avenue. Fini-je. En sortant une photo d'elle de mon porte monnaie.

- D'accord, je vous laisse patienté. Je dois vérifier et appeler les autorités concerné.

Je hoche la tête,  il prend la photo sans la regarder et il part.

Il y a deux jours quand je suis rentré à la maison. J'ai sentit qu'une merde aller me tomber dessus. Quand j'ai vu les nounous, j'ai eu la confirmation. Après avoir payer double comme leur avait promit Naya. J'ai appeler mes parents pour garder les enfants. Je suis parti à sa recherche avec plusieurs frères. On a fouiller la partie de nôtres ville. Ont a fait marcher nos contact qu'il nous reste toujours rien. Je suis mort de peur. J'espère juste qu'elle a pris la route et un hôtel pour évacuer toute cette histoire. Je lui en veux qu'elle soit partie, en me laissant, en laissant nos filles.

Dès que je la retrouve, elle va se prendre une bonne fessée.

Après avoir retrouver sa voiture. Est parler aux personne que l'on croiser. Ont a tous décider d'aller à la police.

Nous biker, ancien hors là loi dans une putain d'baraque à poulet. Merde.

- on va la retrouver mon frère. Me dit Lewis.

- Ouiai, mais où et comment ? Lui dis-je lasse.

On est là depuis de qui me semble des heures.  A attendre.

- arrêter de jouer avec elle. On est au commissariat ici pas dans une salle de jeux. Merde.dit l'officier en entrant dans la pièce.

Il a l'air d'avoir pris dix ans en quelque minutes.

- je ne savais pas que l'on pouvait jouer ici. Lance Sam pour détendre l'atmosphère.

- non mais on a un détenue qui nous fait tourner chèvre. Et pille tout l'argent de mes agents.

On rigolent tout les quatre à ses paroles.

- on dirait nos femme. Rigole Lewis.

- oui, en parlent de femme. J'ai retrouver la vôtre. Nous dit il.

Je me lève si vite que la chaise tombe sur le sol.

- quoi? Déjà ?

- oui déjà! C'est notre détenue qui est là depuis trois jours aujourd'hui.

- qu'Est ce qu'elle fou ici? Pourquoi ne pas m'avoir appelé avant?

- elle a une plainte sur le dos d'où sa présence ici, et madame ne veux pas nous dire sont identité depuis sa sortie de la cellule de dégrisement d'où son séjour chez nous.

- une plainte? Lui demandais-je. Qu'elle plainte ? Pourquoi la cellule de dégrisement?

Il commence à nous expliquer.
Putain elle va me tuer cette gonzesse.