Chapitre 9

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Naya.

Je suis assise sur le sol du couloir, dos au mur. Le lit de Lola m'est passer devant, il y a quelques minutes ou des heures. Je ne serais le dire, mon cerveau c'est déconnecter au même moment que le cœur de mon amie c'est arrêter. Je suis partie au toilette deux minute même pas. Depuis la naissances des filles, ma vessie en fait qu'a sa tête. Alors des les premiers signe, j'aurais du y aller de suite. Mais je pensais pas que Julia aller rester longtemps en bas, elle reste jamais loin ni longtemps de sa fille. A peine mon affaire faite, le lavage de mes main effectuer que le premier bip c'est fait entendre. Les mains dégoulinante d'eau je suis sortie de la pièce adjacente a la chambre. Les infirmières étant déjà la a appeler les médecins et commencer le massage cardiaque. J'ai regarder pendant plusieurs minutes ou seconde le corps de ma Lola tressauter sur son lit d'hôpital. J'ai refais surface au moment ou une personne ma bousculer. J'ai courus dans les couloirs de ce maudit établissement. J'était a bout de souffle, mes mollets était en feu, mes cordes vocales aussi. 

Des bras m'entoure, les bras de mon mari. Son odeur, ses bras, sa présence me calme et m'apaise. Je me lève, embrasse ses belle lèvres.

- Je vais rentrer m'occuper des filles. lui dis-je dans un état second.

- Chérie, regarde moi.me dit-il.

je le regarde et lui dit tout simplement.

- Je vais bien, tout va bien, ok.

Je l'embrasse et pars sans regarder en arrière.

- Non Naya rien ne vas, fait pas de connerie. me cris-t-il.

Non rien ne vas, mais je peux pas rester ici. Ou mon amie risque de mourir. Elle me manque, sa folie me manque. Arriver dans ma voiture, je prend le reste de courage qu'il me reste et appel les deux aide qui s'occupe des filles et leurs signale mon absence et leur dire qu'elles seront payer double. Une fois raccrocher, je m'effondre, je pleure, je crie, je supplie, je prie.

Je crois pas en dieu, mais je lui demande quand même de laisser la vie a Lola. Il n'a pas le droit d'enlever ma sœur, mon amie, mon rayon de soleil.

J'enclanche la première vitesse et pars a toute vitesse. Pas loin. jusqu'au prochain bar que je vois sur la route.


Je suis bourrée, ca va doit faire une éternité que je suis la. Je suis incapable de le dire. J'ai vider deux bouteilles. La musique va a fond. Je danse, sans piste de dance. Je me déchaine, je chante ou bien je crie. Mais est-ce grave?

Je me met la tête a l'envers. Je veux pu pensée. Si je pense, je suis anéantie. J'ai le cœur qui saigne. Moi et Lola ca a toujours été ca. L'alcool, la danse, les délires, notre folie. 

J'ai arrêter de penser a Mathieu et mes filles a partir du deuxième verres. Je les aime de tout mon être. Mais sans elle, je serais perdue. 

Avant elle, mon monde était fade, sans amitié, sans amour. Elle a contribue a mon bonheur. Mon mari, mes filles. 

On dit toujours que nous avons un double dans se monde. Elle est mon âme sœur. Mon moi opposé.

- Alors pétasse, tes chiens de garde sont pas la? me dit une voix féminine qui me sort de ma folie.

Cette grosse pute de Lesly. La dernière fois que je l'ai vue. Les frères la foutais dehors.

- Qu'est ce que tu veux toi? ta pas une bite a lustré? lui dit-je.

J'ai vraiment trop bu. Le son de ma voix est identique a celle d'un ivrogne. Elle est la pensant que seule et bourrée je suis faible. Mais loin de moi cette état. J'ai la rage, la colère qui m'habite.

- Je suis passer a l'hôpital voir si ta putain de copine était pas partie voir la faucheuse.

- Qu'est que sa peu te foutre?

- Voir mon œuvre. Mais elle tien la route la salope. Enfin sa s'était avant.

je lui saute dessus.

- AVANT QUOI??????? HEIN????? AVANT QUOI???? criais-je

Elle ne me répond pas. Elle éclate d'un rire tel une sorcière. Mon cerveau imbiber d'alcool. Me fait voir des image de ma Lola morte. C'est tellement réelle. Elle ma quittée. Elle ma abandonnée.

Lesly rigole toujours, me parle, mais je n'entend plus. 

Je fonce sur elle. elle tombe. Je grimpe a califourchon dessus est enchaine coup de poing sur coup poing. Elle me griffe, hurle. Mais je suis dans une état second. Je frappe, frappe. Je dois lui faire payer.

Des bras m'entoure est me tire en arrière pour que je lâche cette....cette.....cette pute. Je veux encore frappée. Je me démène pour me défaire de cette personne qui m'interdit de l'approché. On me plaque face contre un mur, puis je sens un métal froid autour de mes poignés. Je suis anéantie. On me retourne, je vois une dizaine de flic, peu être moins. Des pompiers aussi. Cela ne me perturbe pas plus que sa. Lesly me désigne comme le diable. Et oui, entre ma colère, ma tristesse et toute mon ivresse, je ressemble dans mon esprit a un démon.

Je suis amener au poste de police est on me met en cellule. Il m'ont bien fait des test et de me poser des questions, je l'ai fait ou pas. Je m'en fou. Je suis toujours dans une plénitude parfaite. Je m'allonge sur ce lit de fortune et part dans un endroit ou tout se passe bien et tout est imaginaire.

Demain sera la bien assez tôt.



Fire demonsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant