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Les murs de la maison se mirent à craqué, une violente rafale de vent se manifestait soudainement, les meubles de jardin firent projeter et les arbres penchait tellement qu'on aurait dit qu'il allait s'abattre sur la maison.

-Fait chier... Bougonnait la détentrice de ces lieux

-chéri, tu a fait quoi hier pour que le temps se déchaîne autant ? Rigola telle

Malgré la tempête extérieure, la maison restait toujours aussi joyeuse, chaque éclate de rire résonnait enivrant la maison d'une âme chaleureuse et familiale, mais à l'étage sans que personne se rend compte qu'un combat intense était en train de se mener.

   Les yeux de Maddy s'ouvrirent brusquement, son t-shirt était compressé entre ses mains et son matelas trempé. Son cœur battait à une vitesse folle, tout son corps, mais plus particulièrement ses genoux était engourdit et lui fessait mal, son ventre gargouillait et sa tête la lançait. Par reflex, elle se redressa, balança sa couette dans les airs et toucha ses genoux. Rien aucune trace, seul ses veilles cicatrices d'enfance ressortait, ses mains n'avait rien non plus elle avait beau les fixer tout était normal, seul son esprit était chamboulé.

Pourtant, la douleur bien qu'elle était  estompée était réelle, son visage contre ses mains, elle songeait. Qu'elle rêve avait t'elle fait, pourquoi tout ça ? Les souvenirs défilaient dans sa tête qui se mit à tournée si fort qu'elle prit appui sur son matelas, c'était incompréhensible elle avait ressenti tellement d'émotions comme si elle avait vécu ce tout lui avait semblée réelles alors pourquoi était telle dans sa chambre. Cette jeune fille, elle en était certaine, elle ne la jamais-vu de sa vie pas une seule fois cependant quand ces prunelles c'était posée sur Maddy elle avait ressentie une énorme douleur, elle avait ressentie ce que la fille ressentait. C'était trop irrationnel pour que se soit lucide, mais pourtant, elle avait senti un tel danger et une telle tristesse qu'elle c'était mise à pleurer. C'est vrai elle avait pleurée dans son rêve. Du bout de ses doigts elle touchait les poches sous ses yeux, les contours étaient mouillés à cause des larmes qu'elle avait lâchées dans son sommeil. Un énorme souffle de vent fit craquer les murs et son volet claqua. Maddy, était si perdue dans ses pensées que le vent dehors ne l'avait même pas alarmée.

Un pied au sol, elle se leva et ouvra son volet puis la fenêtre de sa chambre, le vent dégageait ses cheveux de son visage et l'air frais envahissait la pièce et chassa toute trace de mauvaises ondes. Quand sont rythme cardiaque redevînt normal elle attrapa les bordures de sa fenêtre de sa main pour l'éviter de claqué plus longtemps et s'empressa de la rabattre néanmoins sont attention fut portée sur une rose rouge tacheté de marron, posé sur le bord de sa fenêtre sa tête se penchât, elle pris la rose néanmoins sa main s'engourdit, quelque souvenir de son rêve surgissaient mais elle ne la lâcha pas cette rose, un gilet sur le dos elle partis dans son salon, pris un vase simple, le remplis d'eau et plaça la fleur dedans. Les taches ne partaient pas malgré le liquide transparent, mais la fleur avait l'air de ce redressé d'elle-même quand elle fut plongée dans le vase ce qui satisfaisait Maddy pour une raison qu'elle ignorait.

-coucou ma belle, tu fais quoi ?

-Je... J'avais oublié qu'hier j'avais pris une rose à la voisine, je viens dis repensée quand je me suis levé du coup je l'ai mis dans un vase.

-Ta rose est en train de pourrir va en cueillir une autre.

-Je veux la faire revivre ! Dit-elle avec un enthousiasme soudain.

-Si tu veux vraiment essayer.

Sa mère disparus dans la cuisine donc Maddy la suivis laissant la rose seule dans les salon puis le temps passa.

-Maddy, tu m'écoutes ?

-Hein ? Non pardon, j'étais perdu dans mes pensées.

-bas, on voit ça, avance sinon on aura plus de place à la cantine.

Les 4 adolescentes se mirent à avancer vers la cantine de leur école. Après un long moment, elles s'assirent et commencèrent leur repas.

-Enfin, j'ai cru j'allais tous les taper. Ces idiots!

-T'as raison, mais bon on est dans le lot aussi, Ambre. La plus grande fut choquée des propos de sa congénère.

-Dois-je te rappeler que je suis ici non pas par choix, mais par obligations ?

-On est toutes les quatre ici contre notre gré.

-T'as raison à force on vas devenir folles !

-Ne me parle pas de fous ou folle, je n'ai pas dormi de la nuit à cause des infos d'hier.

-De qu'elles informations tu parles Ravy ?

-Vous êtes sérieuses, vous n'avez pas vu ? Hier, apparemment un gars interné depuis vingt ans s'est échappé d'un asile dans la région. Il avait été arrêté pour homicide volontaire sur une famille ! S'exclama t-elle.

-Ouai, j'ai vu ça, il aurait tué une famille entière.

-J'ai regardé sur Internet à son procès, il a plaidé la folie, apparemment il a même dit entendre des voix lui dire de faire ça et que quelque chose l'avait forcé à le faire, une de ses victimes qui a survécu à vu des phénomènes bizarres quand il a essayé de la tuer, même certain garde de l'asile ont témoigné la même chose !

-Et tu nous dis qu'il est actuellement dans la nature pas loin de nous ?

-Ouai c'est fou, je ne vais pas sortir dehors pendant un moment.

-Oui, il faudra faire gaffe où on va maintenant on est trop jeunes pour mourir. Rit-elle.

-Vous pouvez arrêter de parler de ça, c'est la première pause qu'on as depuis se matin alors profitons au lieu de parler de choses comme ça.

-Maddy a raison, parle nous de ton futur copain plutôt Ravy. Dit-elle en tournant ses yeux vers la noiraude.

-Arrête lila, ce n'est pas ce que tu crois...

Le reste du repas passa. Dans le lycée on ne fit que parler de cette nouvelle, chacun donnait son avis dessus et plus en plus de rumeurs circulaient à ce sujet. Le soir, les infos relayaient les mêmes informations en plus de quelques détails. Puis dans la nuit Maddy s'allongea dans son lit et ferma les yeux une photo de l'homme traversa sa mémoire alors pour se rassurer elle mit sont téléphone non loin d'elle avec l'écran allumé pour éclairer sa chambre et chasser le noir puis dans le silence elle s'endormit.

Une lumière orangée illuminait l'endroit, des bruits de tuyauteries résonnaient et une odeur de gaz mélangé au bonbon flottait dans l'air.
Maddy se réveilla lentement, quand son regard fut plus lucide, elle paniqua, elle se retrouvait dans le même labyrinthe que lors de son premier cauchemar. Derrière elle, il y avait une porte, elle se jeta dessus et tourna la poignée ronde de toutes ses forces, mais il n'y avait rien à faire. Elle avait beau tirer, pousser et taper dans la porte cette dernière ne s'ouvrait pas la seule option qui lui restait était celle d'arpenter les couloirs de son cauchemar afin de trouver une sortie.

Run outOù les histoires vivent. Découvrez maintenant