II

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La Lune étreint la nuit

De douceur infinie

Et dans le vent du soir

Résonnent quelques notes d'espoir

Pleure, mon cœur, sous pluie battante,

Pleure et épanche ta peine

Ton heure s'attarde, les heures sont lentes

Et ton sang se fige dans les veines

C'est le présent qui t'empoisonne

Le passé t'apporte de l'espoir

Et des sourires de mémoire

Quand le futur encore frissonne

Et tu pries pour que cette heure

Où tu t'accroches comme un soleil

Arrive et sonne dans tes douleurs

Le renouveau de ces merveilles.

MusiquesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant