Chapitre 1

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Eugène fait toujours le même rêve depuis quelque temps déjà, il se tient devant un miroir en se regardant, plus il se regarde plus l'envie de pleurer gagne en puissance. Il se déteste tellement, puis il s'effondre devant son reflet, celui-ci fut attristé par lâcheté de son double. Le garçon se réveille en sursautant comme à son habitude et se demande pourquoi il vit. Il se leva pour s'habiller, Eugène met un jean bleu ainsi que son sweat rouge fétiche, ses lunettes rondes et ses baskets blanches. Il prend à la va-vite son petit déjeuner et part vers le métro pour rejoindre son école. Le trajet l'ennuya énormément, le gamin est du genre solitaire et n'a pas d'amis. Il soupira avant de se lever pour se diriger vers son école encore une journée à rester seule le rendit triste. Eugène a toujours eu peur de parler en public ne voulant pas dire de bêtise ou d'offusquer quelqu'un. En rentrant en classe, il ne lance aucun coup d'œil à sa classe.

À la fin des cours le garçon se dirigea vers le parc pour s'asseoir sur la balançoire en réfléchissant à tout et à rien. Tandis qu'une petite fille, un petit garçon joue avec leur mère. Puis il se leva pour rejoindre la gare ne voulant pas arriver en retard. Il arriva dix minutes trop tôt, il soupira de plus belle. Il sentit qu'on le fixa ce qui lui donna un coup de frissons mais quand il se retourna la sensation disparue. Bizarre. Le métro arriva et le collégien rentre dedans en se faisant bousculer de tous les côtés, le seul point positif qu'il trouva de sa journée c'est d'avoir une place assise. En même pas cinq minutes le gamin s'endormit à cause de toute son anxiété qu'il a endurée la journée.

« Fermetures des portes, fermetures des portes.

-Ah... Attendez j'ai loupé ma station ! »

Eugène sort en catastrophe du métro, il fixa le métro partir le laissant seul dans un endroit qu'il ne connaît même pas. Sa chance est-elle aussi mauvaise ? Il grogna sa frustration est parti à la recherche d'un contrôleur pour lui indiquer la sortie et surtout savoir où il doit se rendre pour rejoindre sa maison. Il arriva vers le guichet, il entend une personne parler ce qui le rassure. Mais quand il entre, il ne remarqua nul être humain pourtant il est sûr à cent pourcents que quelqu'un était ici. Puis il la vit. Une femme avec les cheveux devant sa tête et la bouche ouverte. Le garçon hurle de terreur est partie en courant à la recherche de la sortie. Quand il distingue de la lumière, il sourit. Ses pieds arrêtent de courir pour qu'il reprenne sa respiration. Hélas le monstre de tout à l'heure s'approcha de lui, il se remit à courir pour sortir mais il se prit de plein fouet la grille de sécurité, sa vue se brouilla. En reprenant ses esprits son sang se gela. Son corps est par terre alors pourquoi il est en dehors de la grille. C'est impossible. Eugène se demande s'il est mort mais un petit choc ne peut causer la mort... si ?

« Est ce qu'il bat ? » Demanda un inconnu derrière le collégien.

Eugène se retourna pour être en face d'un monstre. Il écarquille les yeux. C'est un cauchemar. De toutes les personnes qui existent pourquoi ça tombe sur lui ? Des larmes sortent de ses yeux, le garçon les essuie brusquement. Que va-t-il se passer au juste ? D'autres monstres aussi hideuxque le premier se mirent devant le garçon. Il transpira de peur.

« Quelle est cette odeur ? Demanda un des monstres

-C'est ton cœur... qui bat, comme ça ? Questionna un autre

-Son cœur fait boum, boum, boum,... Je suis trop jaloux ! Hurla un autre

-Je vais le mettre dans ma bouche pour cacher son odeur et je le mâcherai ! » S'exclama le dernier.

Eugène a de plus en plus peur quand les monstres l'atteignent presque puis son instinct de survie pris le dessus. Il hurla à l'aide en courant dans les rues avec beaucoup, beaucoup trop de monstres à son goût. ' Je vais finir par mourir seul...' pensa le garçon mais il court tellement vite que son corps se fatigua, il réussi juste à dire :« Je... je ne veux pas mourir comme ça ! ».

Underworld OfficeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant