Je me tais fuyant ainsi la vérité
Qui revient donc me troubler ?
Ce sentiment amer et froid
L'avais-je oublié ?
Jamais vraiment
Nul ne le peut
Nous nous connaissons
Lui, moi et nos étreintes charnelles
Je me fais sien
En profite-t-il ?
J'aimerais le contrôler
Insensé
Qui a scellé nos rôles ?
Là n'est plus la question
Je ne m'inquiète plus d'en souffrir
Chérir est si peu de choses
Si aucune flamme n'est éternelle
Parfois il faut accepter
Que lorsque tout a été dit
Quand la dernière larme fut versée
Il est temps de se dire au revoir
Après tout le soleil aussi
Se drape d'une aube incertaine
Pour faire naître l'aurore aimée
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Eau lourde
PoetryLe grand problème dans le monde c'est que les personnes sensées sont pleines de doutes, alors que les personnes stupides sont pleines de certitudes.