Violences Conjugales

Chapitre 3 le début

Cela faisait maintenant 1 mois que nous faisions le tour des sites d'adoption, tu voulais une fille et moi un garçon, toi un enfant et moi un bébé. Nous étions en désaccord et ça ne nous faciliter pas la tâche, constamment en train de nous disputer comme si rien n'avait plus d'importance que cet enfant, nous en avions même oublier notre propre vie. Adoptez un enfant était devenus une obsession, je dirais même le seul but dans notre vie. Notre désaccord nous menait chaque jour de plus en plus vers le divorce, cela me terrifier tu étais tout ce que j'avais dans ce monde et j'aurais pu t'offrir ma vie. Après de longues prises de tête je suis sortie boire un verre dans ce fameux bar afin de me retrouver avec mes démons du passé pour tenter de trouver une réponse. Mon téléphone sonnait à répétition, c'était toi tu étais inquiet. Grace a ma localisation tu ma retrouver ivre, avachi sur le canapé ou on c'était rencontrer, les yeux remplis de larme, la tête remplis de remord. Tu as alors commandé un verre et tu t'es assis a coté de moi comme le soir de notre rencontre, la seule chose qui différencier ce jour était le fait que tu m'ais enlacer dans tes bras. Toi seul savait comment me réconforter, c'est ce qui me rendait aussi faible auprès de toi, tes simples mots suffisaient a me faire passer du rire aux larmes. Était-ce l'ivresse ou la peur qui m'obliger a te dire la vérité, je l'ignorais. Je t'ai alors expliqué que j'étais stérile et que j'avais peur de ta réaction, que l'absence de mon père était extrêmement douloureuse et que je n'arrivais pas a la surmonter. Tu ne savais pas quoi dire, et je te comprenais je venais de tout détruire, du moins, de détruire la confiance sur laquelle était baser notre relation. Nous avons commandé une bouteille pour se bourrer la gueule tout en discutant, ce qui nous avais amener à la conclusion suivante, ont été trop malheureux pour faire de bons parents et même si c'est censé être une source de bonheur, on savait pertinemment qu'on allait échouer. Aux alentours de 4h00 le bar fermer ses portes nous sommes donc allée se balader dans les rues de la ville, puis nous nous sommes rendue dans ce champs ou on allait au début de notre relation et la pluie commencer légerement a tomber. C'est alors que nous nous sommes enlacer au milieu de ce champs vide et isolé et nous avons hurler a pleins poumons. Je pouvais deviner a travers ton cris toute la tristesse et la détresse qu'il y a avait au fond de toi et a travers le miens tu devinas ma peine et, sans un mot nos deux lévres s'entrelacèrent laissant la pluie faire plus de bruits que nos deux cris réunis.