Violences Conjugales

Chapitre 1 - le mariage

J'étais si pressé de l'embrasser, si pressé qu'il voit ma robe. Au fur et a mesure que j'avançais dans l'églises au milieu du regard de mes proches je ressentais un sentiment nouveau, mélangeant l'amour, l'excitation et la joie, C'était là, j'allais enfin épouser l'homme parfait. Je m'avançais de plus en plus vers lui, mes nièces devant, jeter les pétales de roses comme des confettis et, avant de rejoindre mon futur mari, mon père me chuchota à l'oreille « c'est ton jour ma princesse, sois la plus heureuse possible ». J'avançais sans connaitre le danger qu'il allait devenir pour moi, sans connaitre la puissance de ses mots, la puissance de ses coups. Qui aurait pu imaginer que nous deux ca finirait comme ça, a nous voir en se jour si spécial, se dévisageant bout à bout, se dévorant l'un l'autre des yeux. J'avança alors sur le rebords, a droite de mon futur mari, face au prêtre qui me connaissez depuis ma tendre enfance, dans ses yeux brillait une lueur qui ne trompais pas, il était heureux. Etant petite, il était comme mon deuxième père, c'était la seule personne sur qui je pouvais compter, le seul qui ne m'avais jamais vraiment juger. Il prononça alors son discours et l'envie d'embrasser mon mari était plus forte a chacune des paroles du prêtre. J'aimais tellement mon mari, j'aurais pu tout faire pour le voir sourire ne serait-ce qu'une centième de seconde. Vient alors le moment de prononcer les vœux, mon mari d'un air décisif se mit en chevalier servant devant moi, me prit la main et me dit :

« Ma femme, ma princesse, mon rayon de soleil. Je me tient face a toi aujourd'hui pour te dire a quel point tu es importante pour moi, a quel point mon amour pour toi est indéfinissable. Je n'aurais jamais assez de temps durant toutes une vie pour te prouver a quel point je t'aime, pour te décrire a quel point tu me rend heureux. Je sais ce que tu te dit, que ce ne sont que de simple paroles. Alors aujourd'hui je te fais la promesse de faire de toi la femme la plus belle et la plus heureuse du monde, je te couvrirai de tendresse, d'amour, de caresse et de passion. Alors aujourd'hui je le dit haut et fort, je t'aime ma belle et je ferais tout mon possible pour te rendre heureuse. »

Puis se fit mon tour de prononcer mes vœux.

«Wow, mon amour ,par ou commencer. Partons a la base, deux inconnus au cœur briser vidant leurs problèmes dans l'alcool autour du bar, tu sais ce fameux bar ou tu es venu m'accoster. Tout est partie de la, j'ai pleurer face a toi tellement que j'étais ivre et tu m'a raccompagner chez moi, tu ma allongée dans mon lit, et tu es parti me laissant ton numéros sur un simple bout de papier. A mon réveil, j'ai vu ce fameux numéro et intrigué je l'ai appelé. Qui aurait cru que se serait ta douce voix a l'autre bout du fil, me proposant un déjeuner au café en bas de la rue...Notre amitié a débuter ce jour la, car la veille nous avions trop bu pour dire que nous étions responsables, mais malgré le fait que tu m'ais vue ivre, tu as quand même voulu savoir qui j'étais et c'est cela , qui dés le départ, ma énormément plus chez toi. A partir de la on passait des journées entières a se voir, a rigoler, a faires les 400 coups, et puis est arriver ce fameux jour ou tu as eu le courage de déposer tes lèvres sur les miennes et ce jour la j'ais su que c'était toi que je voulais, que depuis notre rencontre je passais mes jours a t'aimer plus fortement que la veille. Qui aurais cru que cette soirée dans ce bar nous auraient amener jusqu'ici, dans un somptueux mariage avec nos proches comme témoins , alors aujourd'hui je te fait la promesse de t'aimer dans les meilleurs moment comme dans les pires, de t'offrir tout ce qui sera en mon possible pour te rendre heureux parce que je t'aime »

Le prêtre, ému, se prononça :

« -Mlle Sarah Delaunay, consentez vous a prendre pour époux Mr Charles Perret ici présent ?

-Oui je le veux

-Mr Charles Perret, consentez vous a prendre pour épouse Mlle Sarah Delaunay ici présente ?

-Oui je le veux

-En vertus des pouvoirs qui me sont conférer je vous déclare Mari et Femme, Charles vous pouvez embrasser la marié »

Alors suite a ses paroles tu t'es approcher de moi tu t'approcha de mon visage avant de lever le voile qui se trouvais dessus et me déposa un baiser passionnée sur mes lèvres. La foules acclamait et personne ne pouvait entendre la promesse que tu venais de me murmurer a l'oreille, où je devrais plutôt dire cette phrase remplis de tendresse et de sincérité « Jamais je ne te ferais de mal, et si un jour pour une raison quelconque je venais en t'en faire, je veux que tu me haïsse »