My end

Morgue

                                                   Shiloh

J’avais beaucoup réfléchis. A tout ce que que m’avais dit Amanda à propos du loup, je m’aperçois que j’aurais dû lui faire comprendre que je la prenait pour une folle moi aussi. J’y retournais vers 17 heures pour but de m’excuser. Mais aussi parce-qu’elle me manquer. Déjà. Il ne me faut pas beaucoup de temps séparé d’elle pour qu’elle ne me manque. Ont à toujours vécu ensemble, à passer nos journées à se taquiner, rigoler…

Je me dirigeais donc vers sa chambre mais elle n’était pas là. Il y avait des infirmières qui faisaient le lit mais c’est tout. Elles enlever également les affaires d’Amanda dans la garde robe et elles les mirent dans des sachets. Je ne saisissais pas trop.

-S’il vous plaît ? Vous avez changé ma petite amie de chambre ?

Une des infirmière se retourné et fût surprise de me voir.

-Non, personne ne vous a prévenu ?

-Prévenu de quoi ?

Elle regardait les autres infirmières et sortait.

-Je reviens.

J’attendais sagement dans la chambre sont retour. Elle revint effectivement un quart d’heure plus tard avec le médecins de se matin.

Toutes les infirmières sortaient me laissant seul avec lui.

-Re-bonjour, tout d’abord excuser nous de ne pas vous avoir prévenu, ce que je vais vous dire ne sera pas facile à entendre.

Mon cœur commençait à accélérer. Qu’allait-il m’annoncer ?

-Votre petite-amie à était tué d’une balle dans la tête par on ne sait qui ça s’est passé il y a environ une heure.

Il n’attendait pas ma réponse et il sortait.

Je n’arrivais pas à me retenir. Je m’effondrais. Dans la chambre. J’avais raté ça de une demi-heure. J’aurais pû l’a sauvé et je n’étais pas là, je l’ai laissé en le prenant pour une folle, en lui disant qu’elle avait perdu la tête. Tout est de ma faute.

                                                        Amanda

J’ouvrais soudainement mes yeux. Je me souvenais de tout ce qu’il c’était passé. Je mis ma main sur mon front et je n’avais absolument rien. Même pas une goutte de sang, déformation…

Je regardais autour de moi mais je ne vis rien  il faisait totalement noir. J’étais enfermé dans une sorte de tiroir métallique. La morgue. J’étais sans doute à la morgue. Comment vais-je réussir à sortir ? Le loup.

Comment faire pour me transformer ?

Je réfléchis mais je ne savais absolument pas. Du sang peut-être ?

A contre cœur et avec souffrance je me mordais ma morsure au bras droit. La douleur était insupportable mais j’étais obligé. Le sang commençait à couler. De plus en plus.

J’avais réussis. Je sentais que je me transformais.

Je souffrais encore plus car la taille du loup était supérieure à celle de la ‘boîte’.

Mais le loup était plus fort.

J’étais maintenant loup.

Je réussis à sortir de ce tiroir et courus vers la sortie. Je n’avais pas le choix, je devais sortir et me montrais aux  gens. Ils me verraient tous. Mais je ne leurs feraient aucun mal. Je courrais dans les couloirs cherchant la sortie. J’avais de la peine à voir tous ces gens criaient et être térrorisé par moi. J’avais envie de leurs dire ‘ne vous en faîtes pas je ne vous ferais aucun mal’ mais je ne pouvais pas. Par malheur je passais devant ma chambre. Je n’aurais jamais dû. En passant je ne pûs m’empêcher de regarder dedans. Je vis Shiloh. Effondré. J’avais certes des regrets mais il devait en être ainsi. Je ne pouvais pas lui montrais que j’étais vivante et de le rassuré. Il finirait par rencontrer quelqu'un d’autre. Je vis Shiloh mais aussi la fenêtre ouverte. J’étais plus gros mais je passerais quand même. J’avançais dans ma chambre et Shiloh me vit. Il recula brusquement et me fixai dans les yeux. J’essayais de lui dire ‘pardonne moi’ mais pour lui ce n’était que des grognements. Je cessais de le regardais et sautais par la fenêtre. J’halluciner en voyant la hauteur. Je retombais sur le sol sans rien, aucune égratignure. Je courrais vers chez moi en réfléchissant à l’endroit ou je pouvais aller, sachant que tout le monde doient croire que je suis morte. Et je veux pouvoir voir Shiloh tous les jours, être assez proche de lui pour le voir de manière net et correcte. Chez ses voisins d’en face. Je dois les tuer.