Chapitre 2 : Quoi de neuf docteur ?

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Une semaine plus tard Clémence eu le droit à son premier rendez-vous avec son docteur qui s'appelait Dr. Lazarus. Alors le mercredi 02 novembre à 10h45 elle fut amené à son bureau. Le rendez-vous ne devait avoir lieu que 5 minutes plus tard alors Clémence s'asseya dans la salle d'attente accompagné de Mme. Thompkins. Tout était calme quand d'un coup on entendit crier.

Inconnu : VOUS NE LE CONNAISSEZ PAS ! NE PARLEZ PAS DE LUI ! NON... NON... ET NON !

Puis on entendit plus rien, après 2 minutes la porte s'ouvrit et un gardien plutôt grand sortit suivie d'un patient. Ce patient rappelai quelqu'un à Clémence mais elle n'arrivais pas à se rappeler qui. Il était de taille moyenne, les cheveux gris en bataille, il devait avoir la cinquantaine et portait un cardigan gris clair. Quand le gardien passa devant Thompkins il fit signe à sa collègue. Le patient lui traînait derrière, quand il vue Thompkins un léger sourire apparu sur son visage.

Inconnu : Bonjour Mademoiselle Thompkins comment va votre mère ?

La gardienne avait l'air exaspéré.

Gardien : Dépêche toi d'avancer Whitly, avant que je vienne te chercher.

L'homme, ce "Whitly" fit un sourire à la gardienne puis avança.

Clémence n'us même pas le temps de poser de questions à Mme. Thompkins que le Dr. Lazarus apparue à la porte. C'était un grand homme fin avec des cheveux mi-long brun. Il portait des lunettes ronde et un nœud papillon. Thompkins enleva les menottes des poignées de Clémence. Le docteur la fit  entrer et elle fut surprise lorsque Thompkins resta dehors.

Clémence : Pourquoi Mme. Thompkins n'entre pas ? Il y avait bien un gardien avec le patient précédent.

Dr. Lazarus : Il y avait un gardien car ce patient à quelques tendances violantes selon les jours. Et pour l'instant je ne vous connais pas encore personnellement pour affirmer si vous en avez, mais c'est pour ça que je suis la après tout. Et ne vous inquiétez pas Mme. Thompkins restera derrière la porte pendant toute la séance. Vous ne comptez pas m'attaquer ?

Clémence : Bien sur que non. Bon par quoi on commence ? Je me présente ? Je parle de mon enfance misérable ?

Dr. Lazarus : Commencez par vous présentez.

Clémence : Et bien je m'appelle Clémence Campbell, j'ai 31 ans. Je suis avocate et j'ai deux filles, Sophie et Margaux.

Le docteur prenait des notes en même temps que Clémence parlait.

Dr. Lazarus : Voulez vous me parlez de vos filles ?

Clémence : Margaux a 15 ans et Sophie en a 6. Ce sont deux soeur inséparable. Margaux est très bonne pour les études, elle aimerait devenir ingénieur plus tard. Sophie elle est très créative, elle est passionnée par le dessin depuis qu'elle est toute petite. Elle sont comme je l'ai dit plus tôt inséparable. Tout ce qu'elles peuvent faire ensemble, elle le font ensemble. Je les aime de tout mon coeur.

À chaque réponse il griffonnait des mots sur son cahier.

Dr.Lazarus : Vous avez parlez d'enfance misérable tout à l'heure. Voulez vous en parler ?

Clémence : En quelques mots : parents pauvres, enfant battue et mal aimé, harcèlement, peste pour soeur. C'est assez où je continue ?

Dr. Lazarus : À vous de me dire.

Clémence : Pour moi ça résume assez bien ma putain d'enfance de merde. Et ne croyez pas que c'est a cause de ça que je suis ici. Mon adolescence et ma vie de jeune adulte était encore plus une putain de blague.

Dr. Lazarus : D'accord, je vous sent un peu énervé, si on passait à un autre sujet.

Clémence : Et de quel sujet vous voulez que je parle ?

Dr. Lazarus : Pourquoi pas me parler de vos passions.

Clémence : Mes passions en dehors du meurtre vous voulez dire ? Ne me regardez pas comme ça je rigole. L'humour est un de mes passe temps, ma vie n'est qu'une grande blague autant en profiter. Sinon j'adore le chant, je suis assez bonne à vrai dire. Et le dessin, Sophie tient son côté artistique de moi c'est sur. J'aime la lecture, j'ai commandé l'intégrale de Harry Potter. J'attends juste que les livres arrivent.

Dr. Lazarus : C'est très bien que vous aimiez la lecture. Les journées peuvent paraître longue ici quand on a rien à faire. Que lisez habituellement ? 

Clémence : Des polars bien glauques. Mais je me suis dit qu'ici j'allais plutôt opter pour de la fantaisie.

Dr. Lazarus : Vous avez bien fait. Avez vous eu des problèmes quelconques lors de cette première semaine ?

Clémence : Non pas vraiment à part si vous considérés l'insomnie, les paralysie du sommeil et les terreurs nocturnes comme un problème.

Dr. Lazarus : Vous en faites souvent ?

Clémence : Les insomnies j'y suis habitué mais je n'avais pas eu de paralysie du sommeil ou de terreurs nocturnes depuis que j'avais commencé mes activités extra-scolaires.

Dr. Lazarus : Vos activités "extra-scolaires" ?

Clémence : Encore une blague. Il va falloir vous habituer à ce genre d'humour avec moi. L'humour noir, il n'y a rien de mieux pour bien rigolé.

Dr. Lazarus : D'accord je vois. Puisque vous parlez de vos activités "extra-scolaires", comment vous sentez vous face à ces meurtres ?

Clémence : Je n'appellerai pas ça un meurtre, plutôt le nettoyage de sombres merde de la société. Et je me sens complètement en paix avec moi même part rapport à ça. Vous vous demandez si les visages des hommes que j'ai tués me hantent la nuit ? Pas du tout, je dors même sur mes deux oreilles car je sais que grâce à moi la justice a été rendue pour tout ceux qu'ils ont agressés.

Le docteur et Clémence parlèrent ensuite de tout un tas de sujets différents tels que son travail, les années avenirs ou encore son mari.

Dr. Lazarus : D'accord. Et bien Clémence il me semble que notre heure et finit.

Le docteur se leva de sa chaise et Clémence en fit autant. Il accompagna la patiente à la porte où Thompkins l'attendait. Une fois arrivé la gardienne la menotta et elle fit un signe de tête à Lazarus.

Dr.Lazarus : Bonne journée Clémence.

Clémence : Bonne journée docteur.

Le docteur accueilla son prochain patient et Clémence et sa gardienne commencèrent le chemin jusqu'à sa cellule en silence jusqu'à ce que Clémence le rompe.

Clémence : Qui était cet homme tout à l'heure ? Vous aviez l'air exaspérée du simple fait qu'il respire.

Mme. Thompkins : Tu ne l'a pas reconnu ? Le chirurgien à l'époque son arrestation à fait le buzz.

Clémence chercha dans sa mémoire.

Clémence : Je me souviens maintenant. Je devais avoir 13 où 14 ans à l'époque, les infos c'était pas mon truc. Mais vous le connaissez en dehors de ça pas vrai. Il a parlé de votre mère.

Mme. Thompkins : Malheureusement oui. Avant d'être Le chirurgien c'est Martin Whitly, un des plus grands chirurgien de la décennie. Il a sauvé ma mère quelque mois avant de se faire arrêter. 

Clémence : Aie, il doit vous tanner à chaque fois qu'il vous voit alors.

Mme Thompkins : Tu n'a même pas idée.

Une fois devant la cellule la gardienne lui enleva les menottes et l'a fit entrer à l'intérieur.

Mme Thompkins : Le repas ne devrait pas tarder à arriver. 

Clémence appris qu'elle aurait un rendez-vous avec le Dr.Lazarus au moin 3 jours dans la semaine et on lui dit également qu'elle aurait le droit à une thérapie de groupe 1 fois par semaine a partir de la semaine suivante.

Ola comment expliquer ?? Désolé j'ai pas d'excuse et flemme d'en chercher une... J'étais censé mettre à jour il y a un petit moment mais il me restait quelques truc à faire pour ce chapitre et à chaque fois je  retardé mon temps d'écriture... Procrastination : remettre au lendemain ce qu'on peut faire aujourd'hui ( et également mon 2ème prénom 😅😅 ) Bon en tout cas j'espère que le chapitre vous aura plus... Et promis j'essaierai d'être plus fréquente

Allez la bise à Denise ( ou à Martin plutôt )

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Deux tueurs pour le prix d'un. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant