Ton sourire...[ Kenma X Oc ] { Haikyuu fanfiction }

Chapitre 5

*Kenma*

-Salut...tu te souviens de moi ?

Elle sourit en se replaçant correctement sur sa chaise et elle lui me répondit :

-Bien sûr, Kenma. Tu sais, tu es carrément le premier ami que je me suis fait à Tokyo.

Ami ?

J'étais plutôt surpris. À part les joueurs du club de volley, personne ne voulait être mon ami. En voyant ma réaction bizzare, elle bredouilla :

-Enfin, si tu veux qu'on soit ami bien sûr, t'es pas obligé d'accepter hein.

-Si, ça me fait plaisir, qu'on soit ami...

*Azuki*

Il sourit de façon trooooop mignonne, ce qui me fit sourire aussi. J'allais dire quelque chose mais je fus coupé par le prof qui entrait dans la classe. Je n'avais même pas entendu la sonnerie...

Il se présenta rapidement et décida de faire l'appel. Au fur et à mesure que les noms passaient, j'écoutais de moins en moins. Je répondis rapidement lorsque ce fut à mon tour, puis, je tombai dans la contemplation de mon voisin. Est-ce qu'il était aussi beau la dernière fois ?

Il regardait droit devant lui, il se tenait le menton avec sa main. Il semblait s'ennuyer. Étant assis à côté de la fenêtre, le soleil tapait sur lui et le rendait cent fois plus beau qu'il ne l'était d'habitude.

Je souris et me retournai vers le prof.

***

La sonnerie sonna annonçant l'heure du déjeuner sonna enfin. Je m'étirai puis, je cherchai mon bento dans mon sac. Sauf que je ne le trouvai pas. C'était sûrement Hiro qui l'avais.

Pour vérifier, je lui envoyai un message :

De Moi à Mon frère de ❤ :

-Hirooo, c'est toi qui a mon bento ?

-Ouais.

-Tu peux venir me le donner, s'il te plaît 😶?

-Non.
-Bouge toi, ça te fera faire du sport.

-J'ai la flemme.
-Et tu insinues que je suis grosse ? 😦

-Et moi, j'ai très faim aujourd'hui.
-Ça m'arrange d'en avoir deux.

-T'AS PAS INTÉRÊT À TOUCHER À MA BOUFFE !!
-J'ARRIVE !!

-Oh des nems, ils ont l'air bon.
-Je vais goûter pour voir.

-Nonnnnnnn !!!😭.

J'éteignis mon téléphone et me levai, prête à partir. Sauf que je me rappellai au même moment que je n'avais absolument aucune idée d'où il était. Si je ne me dépêchai pas, il allait manger tout mes nems, et ça, c'était inadmissible !

Mais il y avait aussi un autre problème. Je ne connaissais pas du tout le lycée et, me connaissant, même si ce n'était pas très grand, j'allai probablement me perdre. Je regardai dans le couloir s'il y avait toujours les pancartes qui indiquait le chemin. Mais, comme par hasard, elles n'étaient plus là.