Chapitre 3 : Les Vagabonds

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En revenant, les autres avaient déjà partis un bon feu et Jérôme s'occupait de le laisser allumer. Une fois la viande prête, il partit avec Dace chercher de quoi boire. Revenants avec quelques feuilles remplient d'eau, nous commencâmes à manger. Je pense que nous étions en train de dinner parce que le soleil était en plein au-dessus de nos têtes et même dans ces bois menaçants la lumière réussissait parfois, à quelques endroit, à trouver son chemin. Debby qui avait fini de manger, pris un petit caillou qui était encore dans ses poches et écriva sur le tronc où elle était accotée. Les vagabons. Malheureusement, elle n'avait pas remarquer la lignée de fourmis qui grimpait à l'arbre et deux d'entre elles la piquèrent.
~Dace~
Je vis que Mia avait la main de Debby entre les siennes et la regardait d'un air sérieux. Je m'approchis et Jennyka fit de même. Sa main gonflait de tous bords, tous côtés. Elle était rouge et maintenant tellement énorme et lourde que Mia la déposa par terre. "Mais qu'est-ce qui m'arrive". cria d'inquiétude Debby, "Qu'est-ce que ces foutu fourmis m'ont-elles fait?!?". Elle commença à cracher du sang et son teint devint brun-rouge. La grosseur de sa main empirait et son corps tous entier été en procédure de...de transformation. Des antennes lui poussèrent au frond, sa peau devenait dur comme un coquille et elle reflètait au soleil.
~Mia~
Ça fesait maintenant deux heures que nous l'épaulions. Ses jambes avait disparus pour laisser place à six pattes bizzarement poilus, un abdomen de fourmi lui poussa et finalement, au coucher du soleil elle était devenu une énorme fourmi qui donnait l'impression de ne pas s'opposer à la chasse au humain pour combler sa faim. Louis, qui depuis quelques temps avait commencer à ressentir des sentiments envers elle, essaya de lui parler. "Debby, c'est moi." Mais la fourmi tourna son énorme tête vers Élena Zur, une de ses amies les plus proches. Elle posa une patte en avant et sous son imposant poids, la terre se mis à trembler, Élena tomba et Debby lui sota desus et la déchiqueta, son sang était étendu dans tous les sens, sa tête c'était détacher et était tombée à environ un mètre de Louis. La fourmi paru dépourvue et ses deux yeux globuleux se remplirèrent d'eau, donnant limpression qu'une partie de Debby était encore là. La créature partie la tête base en se retournant une dernière fois comme si elle nous demandait pardon. Je regardis ensuite l'arbre, mis accroupi et ramassa la petite pierre que Debby avait utilisé plus tôt se matin. J'écrivis en dessous mon nom et les autres firent de même. "En sont honneur" disa par la suite Jérôme. En une journée, nous avions perdu trois filles se qui faisait maintenant un total de neuf survivants. Épuisés, nous marchâmes une heure de plus avant d'enfin trouver une clairière légèrement éluminé par la pleine lune et nous s'y alongèrent pour passer la nuit.
~Dace~
John me réveilla brusquement. "Chuuuuut, regard", disa-t-il. Je regardis tout autour de nous et vis des millers de yeux mauves brillants pointés sur nous. Je remarquis que London n'était plus là et je la cherchis du regard, mais c'était sans résultat. J'entendis alors, quelque chose se cogner sur un des arbres qui nous entourait. Le bruit provenait de ma gauche, je regardis avec John et au bout de deux minutes, je vis London sur une des branches principales d'un grand feuillu. Elle cognait avec un bâton de bois, qu'elle avait sûrement dû trouver parmis tous les autres éparpillés autour de nous. Lorsqu'elle remarquis que nous l'avions vu, elle arrêta sous le son de sont dernier coup. L'arbre résonna creux et métallique, le soleil matinal qui plongeait dessus le fesait briller en révélant un détail qui m'avait échapé hier soir. La partie de la forêt où est-ce que nous nous trouvions, était constituée d'arbres en or, d'un ruisseau pur qui se jetait dans une rivière où est-ce que les pierres du fond était en fait des millers ou même je dirais des millards de pièces de monnaies. Les centaines de paires de yeux disparaissaient peu à peu à la lumière du jour, pour laisser place à une centaines d'adorable petites créature. Elles ressemblaient à des lynx, mais elles avaient des yeux mauves brillants, un teint rosé et une langue qui pendouillait étrangement de leurs gueules. Je vis du coin de l'œil Mia remué. Ce réveillant en sursaut, elle cria. "Ne vous approchez pas!!!!". Je la regardis d'un air interloquer, mais même sous cela elle ne succomba pas, et loin de là. Elle semblait très bien savoir quelle sorte d'animal etait à nos trousses....

Les vagabondsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant