Les vagabonds

Chapitre 1 : L'incendie

(7 mois auparavant)
"Mia!", cria ma mère de la cuisine. "Le cheval s'impatiente!". Chaque samedi matin, je partais brosser, nettoyer et dépenser mon cheval avec 11 autres jeunes du village. Parmis nous, il y avait même le fils du maire, Dace Salvator. Ce beau jeune homme fesait rougir chaque fille, chaque femme peux importe l'âge. Il était grand, musclé, il avait les cheveux bruns foncés et des yeux bleu comme un ciel sans nuage. Il était maintenant âgé de 17 ans, un ans de plus que moi. Ce matin là, Dace me rattrapa au galop et nous commencâmes à discuter jusqu'à se que London Grace pousse un cri d'effroi brisant cette matinée pourtant d'allure si paisible. Elle s'écroula de son cheval, tomba sur les genoux et pleura à chaudes larmes. Les onze autres se reunièrent autour d'elle ,inquiets, et après quelques instant, elle réussit à articuler, "...derri..ère....vous". En se retournant, nous découvrîmes d'énormes flames qui semblaient provenir du village. Désespérément, moi ainsi que 4 autres jeunes, embarquâmes sur nos chevaux et lentement nous avancîmes en direction du côté ouest du village, où est-ce que j'habitais. Des cris de souffrances commencèrent à s'élever et après quelques instants, ils s'éteignirent. La vision d'horreur devra malheureusement me hanter l'esprit jusqu'à la fin de mes jours. Nous décidions de rebrousser chemin et de quitter avec les 7 restants. Louis prit avec peine London dans ses bras pour la pauser sur son cheval et ils quittèrent tous ensemble en direction d'un coin pour passer les prochaines nuits. Heureusement pour nous, la famille de Dace possédait un chalet à l'encontre de la fôret. Un matin d'avril, tous semblait s'être calmer et les garçons partirent voir se qui en restait du village...
~Dace~
Nous étions arrivés, mais sans vraiment le savoir, nous n'étions pas encore prêts à voir toutes notre enfance litéralement sous un tas de cendres. Nous pouviâmes apercevoir nos familles, nos proches, brûlés, sans vie éparpillés un peu partout de part et d'autre. Nos maisons, nos foyers, plus rien n'était encore debout. Sauf les statues en pierre des hommes important du passé. Mon père y figurait... Découvrant que nous n'avions plus rien et que aucun marériel au village était encore réetulisable, nous repartîmes annoncer la nouvelle aux autres.
~Mia~
Je fus la première à apercevoir les garçons revenir. Ils avaient tous un air de tristesse, de deuil. Je su à ce moment précis qu'il fallait bouger, trouver une nouvelle maison dans ce monde périeux. Dès qu'ils rentrèrent, nous commenciâmes à faire nos bagages. Josiane et Jennyka Hannor qui étaient soeurs jumelles, partirent s'assoir un moment dans le salon pour y repenser. Elles fondirent en larmes, elles ne voulait pas s'avouer qu'ils étaient partis et qu'elles étaient orphelines. En rangent mes affaires, je tombis sur une photo de mère, père moi et mon petit frère, Marco. Je fondis en larme à mon tour et ainsi de suite chaque personnes eu son petit moment de deuil.