Les vagabonds

Chapitre 2 : La Forêt

Le lendemain matin, il nous fallu tout notre courage, car s'était un moment crucial. Commencer la traverse de la forêt noire comme on l'appelait dans le coin. Les deux premières heures fûrent calme, mais le stress était encore palpable. Tout à coup, un immense fil blanc s'accrocha à l'abdomen de Catherine et l'emporta si vite que son sac tomba au pieds de Dace. Nous l'entendîmes crier à tout poumon, mais un craquement sourd l'étouffa. Complètement déboussolés, nous courûmes tous se cacher derrière des troncs d'arbres dispersés pour que la chose qui nous avait pris en chasse ne sache plus où viser. Pensant le danger écarté, nous sortiâmes tous de derrière les troncs, mais Jérôme poussa un cri épouvantable. Nous étions encerclés par d'énormes araignées visqueuses. Elles fesaient environ 20 mètres de haut et 50 de large, elles étaient poilus, brunes, noires. Elles nous dévoraient déjà de leurs multiples yeux rouges. Ces araignées étaient munis de dents pointus et d'apparence tranchantes. Leurs gros abdomens trahissait le fait que c'était des femelles. Nous devions sûrement s'être trop approché de leurs petits sans le savoir. L'une d'elles, leva une patte pour s'approcher et je remarqua une petite lumière rouge clignotante. Ont dirait bien que Debby Lisgot, la fille du boulanger, aussi avait vu la même chose que moi, car elle se pencha doucement pour attraper un petit caillou qui se trouvait à ses pieds et essaya de viser cette étrange clignotant. Comme on s'y attendait tous, elle manquit sa cible et la bête se retourna en furi, bizzarement elle pris un bon 30 secondes et de son œil du milieu une lumière scanna Debby de bas en haut. La lumière fesait office d'entonnoir. Pendant ce temps, pétrifié Debby resta là, sans bouger, à croire qu'elle ne respirait même plus. Finalement, elle pris une grande inspiration et dans sa main serrait quelques autres petits cailloux qu'elle avait ramasé plus tôt.
~Dace~
Je vis de dos les long cheveux bruns bouclés de Mia Delvato et sa magnifique petite carrure. Cette fille était d'une beauté éblouissante, elle n'était pas la plus belle du village, mais pour moi elle l'était depuis notre tendre enfance. Je la vis se pencher tout doucement pour à son tour aller chercher une petite poigner de cailloux. À sa gauche se trouvait Debby Lisgot, ses cheveux blonds était ramasser dans une magnifique tresse qui tombait sur son épaule droite et terminait en dessous de sa poitrine. Quand à John Covano lui, sorti une ancienne épée que son défunt père avait sûrement dû forger durant sa vie. Nous nous ramprochiâmes des filles le plus discrètement possible et Debby qui nous avait entendu se retourna en sursaut, pensant que c'était une autre de ces bêtes. Sur ce, les araignées commencèrent à projecté leurs toiles dans toutes les directions. Nous étions pris au piège d'une imposante toile d'araignées. Elles repartirent à toute vitesse suite à un bruit que nous avions aussi entendu un peu plus loin. Louis disa aussitôt. "John ton épée!!". John essaya de l'attraper, mais elle était trop loin. Mia s'en charga. Avec une minutieuse habileté, elle l'attrapa à bout de bras et se fraya un chemin t'en bien que mal vers chacun de nous. Nos souliers collaient quand nous marchions, le reste de notre corps lui devait ne rien toucher pour ne pas se retrouver emprisonner. Le temps nous parut long, mais nous réussimes à sortir avant le retour des araignées. Nous décidâmes de continuer à marcher pendant un petit moment et épuisé, London, Éléna et Josiane s'assirent au pied d'un grand chêne. Jérôme et quelques autres les rejoignèrent ensuite.
~Mia~
Avec Dace, Louis et Maria, nous partiâmes à la recherche de nourriture. Un peu plus loin, Maria aperçus trois cerfs. Les trois partirent à la chasse, mais je tomba en m'accrochant sur quelque chose qui se trouvait sur le sol. En regardant, je découvris un poignard. Je le mis dans une pochette intérieur de ma chemise et continua ma route pour aider Louis à maîtriser le troisième cerf.