Je l'aimais quand la foule m'oppressait
Il m'aimait quand la solitude l'étreignait
Je me cherchais
Il s'était perdu
Je me voyais l'accompagné
Il me voyais à ses cotés
On était livré à nous même dans ce monde étroit, dénuée de sens
Et ces mots me blessent
M'écorchent, comme des bris de verre sur une peau délicate
Ta peau
Les vibrations du son à travers les murs confinés de ta chambre
Quand notre seul but était de ne plus rien entendre à par les basses
qui pénétraient nos pores.
Accro à ses sensations ? jamais cessé.
Que faire de cette obsession tourner à l'oppression, suivi d'une trahison?
Des centaines, ou des milliers de souvenirs qui reviennent
Sont ils déjà partis? serait-ce possible que tu ressentes de la haine?
On a jugé très vite le monde, ça me plaisait
une carapace, une bulle où tout ce qu'on disait n'était pas retenus contre nous
On voulais juste s'écarter des mauvais ondes
Crée une orbe de douceur à partager et dévorer
Quand nos cœurs étaient affamés, nous dansions,
Nos mots, nos âmes, dans cette distorsion
La musique un échappatoire qui nous était propre bien avant de nous rencontrer
Et pourtant qu'elle bonheur de voir qu'elle nous portait tout deux si bien.
Encore maintenant j'aimerais dire, si jamais nous devions ne plus jamais nous parler
envoie moi une chanson.
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C'EST PAS MOI c'est la nature humaine
Casualecurieux ? curieuse ? merci et bonne lecture.