Il étais 6h00 du soir, quand le chauffeur vint nous chercher, ma grand-mère Martine, ma tante et moi, pour l aéroport international de maya maya, ma maman n avais pas voulu se joindre à nous, C était la première fois que je devais partir loin d elle étant fille unique, et l idée aller à des milliers de kilomètres d elle l affecta beaucoup, voilà pourquoi elle décida de ne pas venir à l aéroport, c étais trop douloureux pour elle, nous arrivâmes 2 heures avant le décollage de l avion, c étais une compagnie aérienne qui deservais 3 fois par semaine l ancienne capitale de l Afrique équatoriale française, et paris, c étais pour la première fois de prendre l avion afin d y rejoindre le petit frère de ma maman qui après des études dans la capitale de l amour, décida de s y installer, J étais partager par trois émotions, la peine de laisser les personnes qui étaient chers à mes yeux pour un temps indéterminée, la joie de découvrir cette belle ville dont beaucoup de personnes parlaient tant, et un sentiment encore plus fort et indescriptible, celui de l inconnue, J avais du mal à imaginer les jours à venir. J avais un oncle qui était un haut fonctionnaire au service d immigration et émigration, averti de mon départ pour Paris par maman il nous rejoins à l aéroport et se chargea de toutes les formalités avant embarquement, je fut prise en charge par une hôtesse étant encore mineure, C étais une charmante jeune dame, tres élégante dans sa tenue jupe avant genoux, veste et chignon, je m'en souviens comme si c étais hier emerveiller par sa beauté et son élégance je me promise de devenir hôtesse de l air quand je serais grande, sans me douter que l avenir allait en décider autrement
Il étais 7 h00 heure locale quand k
L avion atterri à l aéroport roissy Charles de Gaulle, c étais l été, et je suis émerveillé par touts ces gratte-ciels ces immeubles qui défilait sous mes yeux, nous arrivâmes à la maison de mon oncle, 2h00 après, suite aux embouteillages monstre qu il y avzis6ce matin là, de mon petit quartier située en périphérie de Brazzaville, je me retrouvais dans une banlieue de Paris où tout le monde semblait presser, les 3 semaines qui suivirent mon arrivée j etais dans la petite chambre que je nous partagions avec une cousine, je ne faisais YÉ pleurer tellement ma grand-mère Martine, mes amies de l école maternelle et ma mère me manquais, quand je 'étais pas enfermer dans la chambre j étais devant la télé entrain de regarder les programmes téle de l une des chaînes nationales., C étais comme un rêve, et j ai eu beaucoup de mal à m y faire.
Mon oncle chez qui je devais habiter se trouvais en Afrique pour affaires je ne trouvas sur place que ma grande cousine et une petite cousine avec laquelle je partageais désormais la chambre, juste en face de mon nouvel immeuble il y avais une voix ferrée, en journée nous dévions supporter le passage incessant des trains marchandises, et même certains soirs au début C étais pas facile mais en fin de compte je m'y suis fais au point où j avsus6 oublier cette nuisance sonore, notre appartement étais au 8 étage étage dans un immeuble de 10 étages, et comme bonus nous avions la tour eiffel en vue, la dame de fer n étais pas si proche non plus depuiw chez nous mais arrivions à distinguer sa stature imposante et toutes les lumières qui la faisait briller de milles feux. Fasse à moi, tristesse, mélancolie, se melangeais, surtout la peur de l inconnue.Mon premier jour
C étais le dernier jour des vacances, nous dévions ma cousine et moins rejoindre les classes, l école elementaire Jean jaures était à 15 minutes de la maison après une bonne trotte, J étais inscrite au cours préparatoire,la jeune cousine avec qui je partageais la chambre était elle inscrite à l école maternelle qui étais juste mitoyenne à l école primaire, J étais la seule fille de couleur dans la classe, et il y avais un petit garçon au teint caramel il m avais dis le premier jour d école qu'il habitais le même immeuble que nous,il était à l entrée C, nous étions à l entrée À, sa maman étais originaire de la gironde et son papa d une des îles françaises outre mer il s appelais Xavier, et m avais confier m avoir aperçu plusieurs fois passer devant leur allée mais étant tout le temps accompagné de ma grande cousine il n osais pas me parler, après discussion je me rendis compte que nous étions natifs du même mois et de ma même année
Étend réserver et très timide j étais la cible permanente d un groupe de filles qui passaient la plupart de leurs temps à me Martyriser. Jusqu'au jour où une file de la même classe que moi étend averti du calvaire qui étais le mien se dirigeas vers moi elle se tiens devant mes bourreaux et les menaça d ek venir aux mains au cas où elles ne cesseraient pas de m embêter elle étais crainte de tous même des plus caïds de l'ecole et le message fût passee comme une lettre à la poste ce fût ce jour là mon dernier jour de calvaire, et mon premier jour de répi, je savourais enfin ma liberté, celle de ne pas avoir la peur6qu ventre en allant aux toilettes de peur d être agresser, celle de manger avec quiétude mon petit goûtée sans le donner à mes anciens bourreau et me retrouver le ventre vide, n Ayant plus rien à manger, la liberté de pouvoir jouer à la marelle sans aucun risque d être bousculer par exprès, la liberté de me posé à la récréation sans être embêter, le ciel avait enfin entendu mes prières, il m'avais envoyé un ange gardien au nom de laziza qui désormais me défendais, J étais devenue sa petite protégée et je lui en étais si reconnaissante, elle avait un fort caractère avec ses cheveux frisés son allure de garçon manqué, celle qui étais crainte par tous les élèves de l école, J avais découverte ce jour là une belle personne une belle âme une sœur, moi qui étais fille unique, je ne la remerciais jamais ASSEZ, je ou enfin dormir tranquille sans être embêter par qui que ce soi à l école, J avais gagner une grande sœur de cœur une protectrice une héroïne