Chap 06

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macao vint chercher lucy dans la cabine.

elle fut surprise que ce ne soit pas grey qui vint la chercher lui même.

macao : - il est temps de descendre du bateau, nous sommes arrivés depuis quelques heures, le garçon est parti pour enregistrer le navire sur le port, il doit nous attendre à quai.

lucy hocha la tête. elle sortit et chercha son époux du regard.

elle le trouva, il discutait avec certains de ces matelots.

il avait enlevé sa chemise.

elle le trouva si beau qu'elle se mit à rougir.

il tourna la tête vers elle.

elle regardait vers la passerelle ayant peur à nouveau de tomber.

grey comprit son angoisse et  vint à sa rencontre.

il lui tendit la main.

elle lui sourit, rassurée. elle put franchir cet obstacle sans difficulté cette fois.

il faisait très chaud.

lucy regarda émerveillée les robes traditionnelles des femmes, les hommes portaient des pantalons coupés au dessus du genou, elle n'en avait jamais vu à magnolia.

ils marchèrent longtemps avant d'arriver vers une petite maison.

elle était jolie, typique des maisons de l'île.

lucy : - votre mère est originaire de cet endroit?

grey : - était... elle est morte quand nous étions petits....

lucy se rappela que son époux avait un frère.

l'effrayant jellal qui aurait tué un homme ayant regardé sa femme.

elle se souvint que grey avait rit quand elle lui en avait parlé cette nuit là.

elle lui prit la main, il fut surpris du geste : - ça a dû être difficile de grandir sans votre mère....? j'ai eu beaucoup de peine quand la mienne est morte....

grey haussa les épaules : - ma mère n'était pas une femme très aimante.... et puis, j'étais petit, je ne me souviens que peu d'elle...

lucy : - et votre père? lui demanda t-elle très intéressée.

grey : - mon père nous a élevé.... il vit à magnolia, tu le rencontreras dès notre retour....

elle se souvint.

ils devaient retourner chez eux dès que l'héritier de grey serait en route.

lucy : - comment est votre père?

elle semblait effrayée.

il lui sourit : - comme moi, je crois, c'est un animal selon ta famille.... puisque c'est un fullbuster!!

elle se mit à rire : - je suis une animale aussi, donc... je suis une fullbuster....

il la prit dans ses bras pour un léger baiser.

ce dernier dérapa. il devint profond, sensuel.

lucy entendit les rires des matelots, elle s'écarta de grey en rougissant : - tout le monde nous regarde...

il se tourna vers ses hommes, puis regarda à nouveau cette fille dans ses bras.

sa pudeur lui plaisait.

lucy se tourna vers la maison.

elle était fermée depuis des années.

elle était assez coquette avec ses volets bleus.

Mariés par ordre du roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant