"Vis pour moi Draco." [TERMINÉ]

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Une réunion de l'AD devait avoir lieu. Le jour de Noël.

Ombrage était sur le point de découvrir notre secret.

Et Draco faisait partie de la brigade inquisitoriale

"Psss Meyer." m'interpella quelqu'un.

Je me tourna lentement et découvris de beaux yeux gris.

"Malfoy !"

Il me regarda droit dans les yeux, intrigué de mon enthousiasme.

Mes yeux étaient rivés sur ses lèvres.

Le couloir où nous étions étaient étroit et sombre.

Je voulais voir si c'était comme dans mon rêve.

Je ferma alors le fine écart qui séparait nos lèvres.

Il s'éloigna brusquement.

"Meyer ? Tu rigoles ?"

"Encore mieux que dans mon rêve !"

Je repris son visage dans mes mains et nos lèvres se rencontrèrent à nouveau.

"De la menthe. Voilà ce que j'ai sentis !"

"Mais Meyer .." dit-il désespérément.

"Orh Malfoy, tu n'es pas drôle !"

Je passa mes mains dans ses beaux et doux cheveux blond platine.

"En plus de sentir bon, tes cheveux sont doux."

"Attends." dis-je. "Je dois vérifier autre chose."

Ses lèvres étaient de nouveau sur les miennes, et alors que j'étais sur le point de cesser le baiser, il plaça ses mains sur mes hanches, et suivit mon baiser.

J'étais surprise.

Et mis fin au baiser.

"Malfoy ?"

"Meyer ?"

"C'est quoi ça ?" demandai-je.

"Tu as de beaux yeux vert." dit-il.

Il s'approcha de moi, et s'arrêta net devant mes lèvres.

C'était à moi de sceller.

Je fis mine d'hésiter mais dans les secondes qui suivirent, je scella cet écart et ce fut reparti pour un tour.

Ses lèvres étaient douces et c'était agréable.

Mes mains vinrent enlacer son cou et le baiser devint de plus en plus intense.

Je sentais la chaleur de son corps.

Mais en même temps il faisait chaud.

Ses mains glissaient sur ma peau avec délicatesse et je sentis ses lèvres former un sourire.

"Malfoy qui sourit ?" m'exclamai-je.

Il rigola et me poussa.

Je repris ses lèvres entre les miennes et il me plaqua au mur avec son coude.

"Aïe ma tête."

Il jouait avec mes cheveux, les enroulant entre ses doigts.

"Tu vas les emmêler."

"T'es fatiguante Meyer."

"Aïe !" m'exclamai-je.

Une de ses bagues s'était coincé dans mes cheveux.

"Non tu rigoles ?" dis-je.

"Attends."

"Ne bouge pas, tu empires la situation."