monde

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eiko, elle savait voir la beauté où les autres ne voient rien, comme dans les chevilles ou les couleurs criardes. le problème, c'est qu'à voir les beautés que le monde ne voit pas, on oublie de regarder ce monde là.

on reste plongé dans nos pensées, on se nourris de beau, de grâce, d'espoir et d'insomnies.

on se nourris des étoiles, du ciel, des fleurs, de la vie, on se nourrit de tout ce qui nous entoure et on oublie de vivre pour soi.

alors eiko vivait en admirant les chevilles des filles, et se perdait dans cette beauté en s'y noyant éperdument. 

- les chevilles des fillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant