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un jour, assisse sur les marches de sa maison, à admirer toutes les sortes de chevilles qui passaient et repassaient pas là sans considération, eiko ne voit plus de chevilles, mais seulement de grandes roues noires qui avançaient mécaniquement, sans grâce ni douceur.

elles étaient à hauteur de chevilles, et pourtant elles en étaient l'inverse, dépourvues de ce charme bien particulier que eiko leur trouvait.

alors pour la première fois de sa vie, et leva la tête pour trouver de grands yeux marrons-galaxie qui la fixait, et elle sourit.

- les chevilles des fillesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant