Chapitre 2 : C'etait une erreur.

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Quand j'avais commencer a avoir mes première chaleur a 16 ans, je réussissais a les calmer seul. Je n'avais jamais eu de problème vis à vis de ca, c'était chiant mais je m'habituait chaque mois un peu plus.

Les vraies emmerde on débutait l'année de nos 17 ans.
Ce jour là, j'étais chez le blondinet, comme d'habitude en soit. On était entrain de réviser pour nos contrôles. Son père était au restaurant comme chaque jour et je devais dormir chez eux.
Je m'en souviens très bien, j'avais oublier de prendre mes suppresseur et mes chaleurs sont apparu plus tôt que prévu.
Je me suis retrouvé en pleine chaleur dans la chambre de Sanji. J'avais pas mes suppresseur pour les calmer et j'avais pas non plus ce qu'il fallait pour me soulager. J'allais quand meme pas le faire devant mon meilleur ami.
Ma tête avais commencé a me faire mal, j'avais de plus en plus chaud et je perdais un peu la tête.
Sanji était complètement paniqué, il ne savait pas quoi faire, il avait d'abord essayé d'appeler son père, mais Zeff n'a pas répondu.
Soudain, c'est comme si un instinct animal avais commencer a prendre possession de mon corps. J'étais complètement soumis a mes pulsions.

Le blondinet avait essayé de résister, on avait essayé..

Mais on avait 17 ans et on avait tout les deux très envie sur le coup. Malheureusement on a laissé agir nos pulsions. C'était complètement consenti, c'était notre première fois a tous les deux.
J'en garde pas forcément un mauvais souvenir. J'aurais juste préféré faire ma première fois avec quelqu'un d'autre que mon meilleur ami.

On en avait plus forcément reparler par la suite. Pas par honte, mais c'est comme si on c'était mis d'accord d'oublier ce qu'il c'était passé. On avait merdé, on avait laissé cours a nos pulsions et on voulait plus que ca arrive.

Le mois c'était déroulé sans problème.
Vain ensuite mes nouvelles chaleurs. J'avais pris mes suppresseur et avait essayé de me calmer comme je l'avais fais avant. Mais rien ne marchait.. ma tête me faisait de plus en plus mal. J'arrivais pas à arrêter ces foutus chaleur. Mon corps réclamer qu'une seul chose, qu'une seule personne..
J'avais donc appelé Sanji pour lui expliquait la situation. Il est venu directement après avoir raccroché.
On l'a refait et ca a immédiatement calmer mes chaleurs.
On a donc réaliser la connerie qu'on avait fait le mois dernier. Une fois que tu calme t'es chaleurs par le sexe, tu es comme condamner a les calmer comme ca chaque mois. On l'a apprit que plus tard que ca fonctionné comme ca dans certains rares cas. C'était le début des emmerdes.

Après ca, chaque mois on le faisait.
Sanji pense encore aujourd'hui que tous est de sa faute, il prend l'entière responsabilité de notre connerie d'il y a 3 ans. J'ai beau lui dire qu'on partage la faute, mais il ne veut rien entendre. Et c'est ca qui me mets en colère. C'est pas le fait de couché avec lui chaque mois, mais le fait qu'il veut tout assumé seul. Il veut porté seul ce fardeau.

C'était suite a une dispute a cause de ca qu'on a commencé a s'éloigné sans trop le vouloir depuis 1 an. Et c'est a ce moment là qu'il a commençait à enchaîner les conquêtes d'un soir. 
Je ne peux même pas lui en vouloir. Sanji, alpha dragueur invétéré de ces dames, se retrouve a coucher 1 fois par mois avec un homme, qui plus est, son meilleur ami. Ca a due lui faire un coup au moral et à l'égo.

Il ne m'a jamais dis ce qu'il pensait de tous ca. On a jamais eu de réel discussion par rapport a ce qu'on faisait. Généralement on le fait et on se sépare. Il n'y a pas de geste romantique, pas de caresses, pas de baiser, pas de mots doux, pas d'amour. Juste du sexe sans rien de plus. On essaie pas forcément non plus de donné du plaisir à l'autre, on fait ca comme un geste mécanique qu'on a apprit a accepté. Enfin.. pour lui surtout.

Malheureusement, a force de dépendre de lui pour calmer mes chaleurs et a force de coucher régulièrement avec lui depuis 3 ans. Je suis à contre coeur tombé amoureux de cet homme. Cet homme qui est mon meilleur ami, qui est mon pire ennemi et qui est surtout un putain de coureur de jupon.
Est ce que je lui ai dis ce que je ressentais ? Bien sûr que non.
Personne n'est au courant des vrais sentiments que j'ai a son égard, et c'est mieux comme ca. Je suis déjà assez détruit à chaque fois que je l'entends avec une femme, donc on ne va pas rajouter l'humiliation d'un râteau. Très peu pour moi.

Ça devais être écris. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant