Ça devais être écris.

Chapitre 18.

PDV Sanji :

Cela fait déjà deux semaines que je suis sans nouvelles du vert.

Deux semaines que je panique et que je fais des cauchemars.

Chaque fois que j'entends du bruit dans l'appartement, j'espère a chaque fois que ça soit lui qui rentre. Mais non.

Les autres commencent à paniqué également. Personne ne sait où il est et comment il va. Ça me fait terriblement peur, je ne peux m'empêcher d'avoir plein de scénario catastrophique qui tourne en rond dans ma tête.

De plus, son parrain m'a dit que si le vert n'était pas rentré d'ici une semaine, je pouvais commencer à creuser ma tombe.
Je vous rappel que ce type manie des sabres. DES PUTAINS DE SABRE.

Est ce que je dois appeler la police ?

Autre chose m'inquiète également : Zeff.

Deux jours après le départ de Zoro, j'ai appelé mon père, j'avais besoin de conseil et surtout de soutient moral.
Mais il n'a pas répondu.
Quand j'ai appelé ses collègues ils m'ont répondu que Zeff était parti en voyage d'affaire mais qu'ils n'en savaient pas plus.

Mon mari a disparu et c'est a ce moment précis que mon père décidé d'aller en voyage d'affaire ! Mais c'est quoi cette putain de mauvaise blague !
Et où il est parti d'ailleurs ! D'où un vieux cuistot comme lui a besoin de faire des voyages d'affaires !

_____

Alors que j'étais dans le canapé entrain de regarder un énième épisode de ma série, histoire de me faire penser à autre chose. J'entends la porte d'entrée s'ouvrir .

Je me retourne et tombe nez à nez avec Zoro.
Il me regarde un peu surpris.

Zoro : T'es pas au travail ?

Ni une, ni deux, je me précipite vers lui pour le prendre dans mes bras.
Au début il est légèrement surpris, mais je sens qu'il me rend mon étreinte.
Des larmes coulent de mes yeux, j'arrive pas à savoir si je suis entrain de rêver ou si c'est bien réel.

Le vert prend mon visage entre ses mains et m'embrasse tendrement.

Zoro : Je suis rentré San.

Sanji : Zoro.. je suis tellement désolé.

Zoro : Ca va ne t'inquiète pas pour ça.

Sanji : Non ça va pas. J'ai été odieux avec toi, je t'ai dis des choses auxquelles je ne pensais même pas. J'ai agis sous le coup de la colère et je t'ai blessé.

Zoro : Je sais. Mais ça va je te promet.

Je relève la tête et le regarde droit dans les yeux.
Je le vois me sourire. Ce sourire tellement réconfortant, signe qu'il ne m'en veut absolument pas. Je sais pas comment il fait, je me déteste pour ce que je lui ai fais.

Alors que j'allais lui demander où il était parti. Je remarque quelqu'un derrière lui.

Sanji : Zeff ! Mais.. qu'est ce que..

Zeff : Tu remarques enfin ma présence sale cornichon effronté !

Sanji : Je.. hein ?!

Zoro : Viens assis toi, il faut que je te raconte.

Le vert me prend la main et on se dirige tous les trois dans le salon pour s'assoir confortablement.

Zoro : Bon voilà. Enfaite, j'ai demandé à ton père de venir avec moi.

Sanji : Ou ça ?