Chapitre 1

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Il m'arrive souvent de me demander a quoi ressemblerais ma vie si j'avais été le fruit d'un amour « normal » de la société, cela n'est que mon point de vue. Depuis la régression de notre race au stade d'animal tout part de travers. Les femmes n'ont pu de règles à proprement parler mais des chaleurs qui arrivent fréquemment temps qu'elles n'ont pas enfanté. Ici l'attirance n'est qu'une question d'accouplement et non d'amour, ce sentiment c'est évanoui avec le temps, comme une fleur qui meurt au fil des saisons. Comme avant les classes sociales ou plutôt les races formes une pyramide du plus mauvais au supérieur. Celle qui ce trouve en haut de la pyramide sont les alphas qui ont un taux de fertilité de 100%, respecter par tous ils ont une vie tracée, un travail leurs rapportant une fortune, des femmes prêtes à leurs laisser le plaisir de les fécondés, une vie luxueuse en quelque mot, contrairement au invisible qui concerne uniquement les femmes leurs odeurs n'attire personne même en période de chaleur aucun homme ne s'approche d'eux alors qu'elles ont un taux de fertilité supérieur à 30% mais idéal pour travailler dans les sociétés d'hommes. Leurs statuts reste lourd à porter la plus pars ce font une raison alors que d'autre ce donne rapidement la mort. Et enfin nous avons la race la plus banal de tous les born qui signifie « enfanté » avec un taux de fertilité de 10 à 20% qui sont le plus souvent les plus utilisés pour porter la vie. Tout cela n'est encore une fois question que de fécondité dirons nous, pourtant ma race à moi n'est en aucun cas de tout cela. La mienne est éteinte depuis des années et concerne également que les femmes, les fécondatrices avec moins d'un pour-cent de chance de l'être avec des parents ne portant pas cette race, il a fallut ça tombe sur moi..un fardeau bien trop lourd à porter. Les fécondatrices ont ce don unique d'avoir un taux de fertilité égal à celui des alpha, une partenaire idéal pour eux. Fût un temps nous étions marier à des alphas afin de garder une lignée dite « pure » et « fiable » pour assurer l'avenir de l'humanité; car oui nous avons également cette faculté de donner naissance à un enfant de la même race que notre partenaire ou inversement de la même race que moi cela dépend du sexe de l'enfant.

Une bien triste existence pour une personne comme moi. Mes chaleurs provoquent pas mal de dégât dans ma vie mes hormones attirent tout les hommes qui disent je cite « ton odeur et bien trop délicieuse » ou encore « je n'ai jamais senti une telle odeur », cette odeur qui nous ai propre, cette odeur qui représente notre identité une manière de détecter qui nous sommes, cette odeur qui me répugne. Je stop cette odeur avec des médicaments prescrits pour mon ami d'enfance, des petites pilules rose pâle qui a pour effet de rendre impossible à détecter quand mes chaleurs sont présente évitant ainsi tout problème que quelqu'un ne puisse découvrir qui je suis réellement, grâce à cela je me fait passer pour une born avec une vie privée impossible à connaître. Tel est mon quotidien lamentable de vivre dans le mensonge. Ce matin là, je me lève avec difficulté l'envie de rester sous ma couverture chaude ne me quitte pas. Dans un élan de force je m'étire afin de me donner du courage de bondir dans ma douche si chaude que la vapeur envahit rapidement la petite pièce. Ce moment est tellement agréable pour mon corps et moi même. Après un petit déjeuner rapide je l'empressé d'attraper mon sac pour me diriger à mon travail en marchant. Ici personne n'est pudique alors quand certaine ont leurs chaleurs, les ébats ont lieu en pleine rue, dans les bus, les restaurants et j'en passe. Le soleil brille de mille feu, ça chaleur me rappel l'été, la mer, les coquillages et surtout les glaces italiennes. Arrivée devant la petite librairie bien trop modeste pour certain, une petite tête bleu sors balais en main pour dégager le reste des feuilles tombante venue ce poser devant le petite établissement à cause du vent.
Lévy macgarden est mon amie mais également ma patronne, la seule à avoir voulue m'engager dans ce monde où il est difficile d'entrer dans une entreprise à cause des hommes, mais Lévy elle croit dur comme fer qu'une femme puisse travailler même avec des chaleurs, ce qui me rend perplexe est surtout sont romantisme incomparable; oui elle croit à l'amour et ce préserve jusqu'à l'arrivée de ce mystérieux amant, je ne veux pas contrarié alors tant que notre société nous permet encore de rêver, laissons la ainsi.

L'amour d'un alphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant