Chapitre 4

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La neige est si belle, blanche et froide comme mon cœur mort. Ses Trois semaine sont passé plutôt vite, plus que quelque jours avant Noël, c'est ennuyant de savoir les familles réuni autour d'un repas bien garnie pour l'espace d'une journée ou d'une soirée par an, le reste de l'année ils se fuient comme la peste. Aujourd'hui fût un jour spécial pour moi, mon ami d'enfance a accepter sans hésiter de m'aider malgré qu'il puisse être condamné pour faute grave voir même pire. A l'arrière de sa pharmacie dans une petite pièce installée pour les injections de vaccins il me sors un médicament particulier avant de me demander si j'étais sur de mon choix. Déterminé j'ai avalé ce médicament sans une quelconque émotion de regret ou d'hésitation. Akane me regarde tristement avant de me prendre dans ses bras.
- je serais toujours là pour toi, quoi qu'il arrive me mettre en danger pour toi ne m'importe peu tant que toi tu vas bien, tu es comme ma sœur et rien n'est trop beau pour ton bonheur, reprend ta vie en main sans avoir peur je suis là. S'exprime t'il d'une voix tremblante
Qu'est ce que je ferais sans toi akane ? Je ressert l'étreinte pour profiter de ce moment chaleureux. Après un doux moment qui réchauffe mon cœur, il m'explique de manière très sérieuse les étapes qui suivent à venir. Je ne suis pas fière pour autant de ma décision mais jamais je deviendrais un objet pour cette société obnubilée par le pouvoir. J'ai pris deux semaines de vacances que Lévy n'a pas refusé au contraire son soutiens m'a aidé. Besoin de parler j'ai appelé sting pour discuter autour d'un thé chez moi, il a passé l'après-midi et la soirée a m'écouter me plaindre de mes problèmes pathétique, je me sens tellement honteuse et inutile..lui me réconforte malgré les choix que j'ai du prendre pour me protéger. Vers 22h30, je le raccompagne à la porte d'entrée remerciant infiniment d'avoir été la, d'un simple baiser sur la joue il s'en va tel un gentleman. Pendant ma douche l'eau chaude coule à flot sur ma
Peau pâle et froide puis une douleur brutal me prend au tripe, l'impression de me prendre des coups de couteaux, plier à genoux dans salle de bain, le bruit de l'eau camoufle mes cries de douleurs, c'est seulement au bout de quelque minute longue et intense que la douleur ce dissipe pour laisser paraître du sang qui s'évapore dans le tuyau de la douche, à ce moment j'ai compris que naturelle le cordon été couper pour de bon. Une légère larme coule le long de mon visage se mélangeant à l'eau chaude du pommeau de douche. Suis je définitivement un monstre? Jamais j'en ai douter. D'un sentiment sale je me lave une seconde fois avant d'arrêter l'eau et d'enfiler mon peignoir blanc bien chaud. Peignant mes longs cheveux blond encore mouillé j'entends ma sonnette signifiant que quelqu'un est là, qui cela pourrait être? Surtout à 23h30..je descend pantoufle au pied, soupirant déjà. J'ouvre la porte pour la refermer aussitôt, un poids m'empêche de la fermer complètement.
- dégage ! Dégage de chez moi! Criais je hors de moi
La porte s'ouvre entièrement, ma force est bien aussi faible que moi..cette homme qui sait servie ouvertement de moi en utilisant mes sentiments possible, une ordure en personne, natsu. Il entre et referme la porte soigneusement.
- nous avons des choses à nous dire. Dit il
- sortez de chez moi vous n'êtes pas le bienvenue. Dit ai je au regard sombre
Il soupir en détournant le regard. Croit il réellement que je puisse pardonner un tel acte ? Me prend t'il pour une débile ? J'ai tellement de haine sur le cœur en revoyant cette scène écoeurante.
- ignorer mes appels et mes textos nous fera pas avancé, laissez moi vous expliquez ! nous aurons un enfant tout de même ! S'exprime t'il essayant tout sentiment pour m'atteindre
- Mais vous ne comprenez pas il n'y aura jamais d'enfant ! Criai je d'un regarde psychopathe
Il se fige sur place, le temps semble être arrêter ne voulant pas réalisé mes paroles. Je baisse le regard toujours honteuse de mon acte..que devrais je dire ? Il a jouait avec moi et je devrais donner naissance à un autre monstre comme moi? Ce serais égoïste de ma part de faire vivre ce que moi même je vis. Natsu prend une autre expression.
- comment ça? Qu'est ce que vous avez fait ? Demande t'il déboussolé
- j'ai fait ce qu'il me semblait le mieux a faire dans ma situation, vous arrivez trop tard il n'est déjà pu la. Dit ai je froidement
- vous venez de détruire la seule chose qui aurais pu nous réunir pour de bon, qui aurais pu nous laisser une chance de commencer une vie de famille. Explique t'il complètement fou
- quelle famille? Je ne veux pas d'un homme incapable de voir autre chose que de la viande. L'amour n'existe pu vous m'avez aider à le prouver. Avouais je vide d'expression
- attendez laisser moi vous expliquez ce n'est pas ce que vous croyez. Dit il avec une lueur d'espoir
- vous avez abusé de ma faiblesse, au lieu de partir vous êtes resté attendant que je cède et vous saviez que je n'aurais pas résister longtemps! De plus vous aviez déjà quelqu'un dans votre vie! Criais je de déception

Je passe à côté de lui et ouvre la porte lui indiquant de partir sans même dénié le regarder, j'entends ses pas lent espérant que je change d'avis. Puis pu rien, le vide complet je venais de refermer ma porte prenant soin de la verrouillé. Des larmes dévale mes joues, mon cœur ce déchire toujours autant en le voyant moi qui essaie pertinemment de l'oublier..comment ai je pu être si naïve, toute ma vie j'ai fuis ce genre de problème alors pourquoi à l'heure d'aujourd'hui je n'arrive pas à me faire à l'idée de vivre sans lui? Je suis si stupide merde! Ses avec mes sanglots que je m'endors pour le pays des mauvais rêve pour une mauvaise nuit..

5h30 mon sommeil ne souhaite pas revenir, je réfléchis trop..du bout de mes doigts je touche mon ventre en imaginant à quoi ma grossesse aurait pu ressembler pendant et après. Serais je entrain de regretter mon choix? D'un long soupire d'exaspération je me lève pour enfiler des vêtements de sports, 5h45 et je vais courir dehors par un froid glacial pour je ne sais quelle raison, peut-être pour remettre mes idées en place. Le vent souffle légèrement, mes expirations dû à l'effort physique forme de la buée à cause du froid. La neige crépite à chaque pas que je fait une sensation plutôt agréable. Certaine personne serais frigorifiée, pourtant moi je ne sens pas le froid frôler ma peau. Je continue ma course sans connaître ma destination, je cours encore et encore jusqu'à perdre mon souffle. Je fini par m'arrêter au port de la ville pour crier de toute mes forces à presque réveillé tout les habitants vivant à côté.
- bordel..murmure ai je
Je me met à repartir en courant, parcourant la ville entière connaissant ma destination. Au bas d'un immeuble plutôt moderne j'ouvre la porte d'entrée laisser à moitié ouverte. Je monte les escaliers jusqu'au quatrième étage, mon cœur ne cesse de faire des loopings. Devant cette porte je reprends mon souffle violemment. Les mains sur mes genoux j'inspire et expire; d'une main je sonne ne sachant pas si mon geste et vraiment utile..la porte s'ouvre pour laisser apparaître cette touffe rose à moitié endormie torse nue, les cheveux décoiffé. C'est peut-être la première fois que je le vois ainsi, il est..wouah..surpris de me voir à moitié essoufflé il ce frotte les yeux pensant rêver. Je l'embrasser passionnément le poussant dans son appartement fermant d'une main la porte. D'une manière plutôt surprenante il continue et intensifie nos échanges. Je me retrouve contre le mur en l'aire, porter par des bras musclés mes jambes s'enroulent automatiquement autour de sa taille. Qu'est ce qui m'a poussé à revenir vers lui de cette manière ? Pourquoi je m'accroche à un rêve d'illusion pure et simple? Pourquoi je m'accroche à un homme qui ne ce contente pas d'une femme?

L'amour d'un alphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant