𝐓𝐨𝐮𝐭 𝐜̧𝐚 𝐧'𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐮 (𝐭𝐨𝐦𝐞 𝟏)

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Je reste donc là, à réfléchir.

Je repense à la discution avec mon père. Je l'aime beaucoup mais sur ce sujet il est super sensible, je sais il a ses raisons mais même.

Il avait un pote, il s'appelait Valentin.  Ils étaient à la fois collègue de travail, amis, voisin, comme des frères enfaite. C'était de vrai meilleures amis. Ma naissance est arrivée, et ils sont restés pote évidemment. C'est devenu mon parrain, j'ai grandi à ses côtés, c'était mon deuxième père. Il était toujours là pour mon père et inversement. Il était h36 chez nous, je l'aimais beaucoup. 

Et puis un jour... Il est mort. J'avais 13 ans à ce moment, je suis rentrée du collège et j'ai vu mon père assis dans la cuisine en pleure. Jamais je n'avais vu mon père pleurer auparavant. Alors à ce moment là, même s'il ne m'avait encore rien dit, je crois qu'une partie de moi savait ce qu'il s'était passé.

Je me suis assise à côté de lui pour qu'il m'explique ce qui n'allait pas. Il ne voulait pas me le dire, alors je lui est demandé si il voulait que j'appelle Valentin, que peut-être à lui il lui parlerait. A ce moment il a levé la tête et j'ai compris, pour de bon cette fois-ci. Il faut pas forcément des mots pour comprendre ce genre de chose. C'est dur au départ et après la vie continue.

Et à mon plus garde regret, c'et un de nos grands points commun avec mon père. On a tout les deux perdu notre meilleur ami.

Moi c'était Léo. On s'est connu à mes 10 ans. Nous deux c'était sensationnelle. Comme deux doigt de la main. En 6 mois d'amitié, on avait plus de complicité que certaine personne en 10 ans. C'était fou. Je passais mes journée avec lui.

 Puis ça a déraillé. Il est devenu distant, puis il a arrêté de me parler, il a bloqué mon numéro. Et 1 mois après, il s'est suicidé. Sa maman m'a appelé en premier. Je suis arrivée après les pompiers, j'ai vu le corps de loin. Il semblait dormir. Il avait l'air apaisé. Et puis on l'a recouvert d'un drap blanc comme dans les films. C'était un moment calme contrairement À ce qu'on peut penser.

 Il s'est tué à cause de ses parents. Ils le battaient. C'était écrit dans sa lettre. Que je  n'ai jamais lu car les policiers n'étaient pas autorisés à la faire lire à autrui. 

Mais bon. J'ai aussi appris a tourné la page.

Pop vient s'allonger contre moi à ce moment. Je la caresse doucement. C'est la seule toujours là pour moi.  Je l'aime de tout mon cœur. Je m'arrête de la caresser et je prend des coquillage dans ma main. Je les lance, un à un dans l'eau. 

Après environ 30min à lancé des coquillages, je me lève et je pars. Je reprend le petit chemin caché par la verdure et je rentre chez moi.

En rentrant je pose la laisse et monte directement dans ma chambre sans même vérifier si mon père est là.

Je reste une heure dans ma chambre, quand je descend il est 13h. J'ai pas trop faim, je viens juste faire genre je cherche à manger pour vérifier que mon père est bien en bas.

Une fois dans la cuisine, je me rend compte qu'elle est vide. Je vais voir dans la salle à manger et la salon, qui sont pareil que la cuisine, vide. Je vais voir sur la terrasse, et il est là. Assis, sur une des nombreuse chaises qui sont autour de la table. Il regarde la vue. Une verre de ce que je présume être du bourbon.

Il reste silencieux. Il n'a pas quitté la vue du regard. Je reste bêtement debout, je décide de m'asseoir à quelques chaises de lui.

Dad: tu sais tu avais raison.

-à propos ?

DAD: je suis trop chiant. je prend tout à cœur.

-j'étais énervée tu sais.

Dad: et il faut pas t'énerver

-on se demande de qui je tiens ça...

Je tourne ma tête vers lui et je le vois sourire.

Dad: je sais que ça peut paraître fou que je réagisse comma ça, mais... perdre son meilleur ami c'est comme perdre un partie de soi-même. Il était tout pour moi.

Un grand silence s'installe.

Cette fois-ci c'est moi qui reste le regard fixé sur la vue. C'est vrai que c'est une magnifique vue, sur tout Los-Angeles. C'est magnifique.Je ne sens pas son regard sur moi donc je pense qu'il n'a toujours pas quitté l'horizon des yeux.

-ça ira mieux, laisse faire le temps, on est pas pressé tu sais

Dad : je sais bien 

-aller, arrête de boire et va dormir, t'as des cernes qui se voit à 3 km.

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Et voilà, j'ai finis le chapitre sur son passé, j'espère il vous plaît !

Bref,

Kiss ;)