Une nuit noire s'étendait, les vastes horizons célestes se remplissaient de ténèbres. Nuages et étoiles ne pouvaient en-être distinguer, car l'obscurité si profonde de la nuit, confondait les cieux aux vastes ombres obscures de minuit.
Les espaces forestiers n'echappèrent guère à la progression des ténèbres. Seuls encore quelques plantes champimorphes baignées de lumière, maintenaient un fragile équilibre des deux opposés.
Que vois-je ? Me dis mon partenaire Syvurge. Un homme mûr à la barbe rousse, blanche tel une douceur laitière s'étendait une teinture pure sur sa peau. Il portait une armure lourde, décorée de motifs mystérieux, dont le centre de sa poitrine tenait une pierre de cristal lumineuse tel une lampe me rappelant les cintillants des étoiles. Recouvrant son imposante armure d'une fourrure chaude et épaisse d'ours-garou dont il se vantait le mérite de l'avoir tuer. Le casque si imposant aux ornements monstrueusement intimidant, recouvrait sa tête, m'empêchant parfaitement de distinguer les traits de son visage. Il tenait une grande épée renfermer à son fourreau soutenue de ses puissants bras.
Sa carrure honorait celle du brave guerrier dont la vigilance me surprenait, donnant du courage à ma petite personne qui ne pouvait se sentir en tout temps intimidé par sa présence.
Mes cheveux d'or s'allongissaient au terminus de mon dos,teint de couleur jade, mes yeux brillants dans l'obscurité observaient les présages actuelles. Je portais une simple robe tissée de fils d'or faite d'un artisan de renommée. Ma carrure noble maintenant le caractère simple et calme de ma personne, renforçait la teinture de ma peau clair de maron soutenue par ma beauté éclatante d'homme plus jeune, aux traits féminins, portant des oreilles plus longues que celle de mon partenaire. Je récouvrais ma tenue d'une fourrure de loup-grizoire, où autour de mes reins, une ceinture maintenait la poche dans lesquelles reposait mon grimoire.
Ma douce voix répondit après quelque attentes à mon compagnant, après que cette dernière est pris le temps d'arranger ses propos. L'intimidant personnage pouvait à tout moment s'énerver, il était connu pour ça. Et me bagarrer n'était pas une option très noble. Alors je pris le temps de concevoir des mots flatteurs on lui disant :
- Oui, j'apperçois donc ses orques traîné une jeune femme dans leur tanière. Par curiosité, ne devant nous pas intervenir pour la secourir mon brave ?
Il riat si grandement que je sursaute de ma place, effrayé de peur par cette terrible voix frappant le rock. L'humain syvurge se rapprocha donc de moi, souriant et sûre de lui-même. Il me poussa légèrement de sa puissante main gauche sur l'une de mes épaules en me disant :
- À t'elle de quoi payer la tâche ?
Cette réponse m'étonna que de peu, connaissant les humains, je savais que rares étaient ceux qui se soucie de leur semblables. À l'intérieur de moi, la colère grandissait, mais je ne pouvais contester contre sa parole. Il veillait sur moi tel un père pour son fils, même si l'origine était dû à un gain fort alléchant de quelques centaines de milliers de pièces d'or. L'argent n'était pas un problème, en tant que noble d'une famille royale, je possédais les fonds nécessaires pour me payer le mercenaire syvurge.
La passion de l'aventure et du danger ma poussé à m'éloigner des terres de mon père, un seigneur très sage en qui je n'avais guère amour ni confiance. Me considérant juste comme une chose utilisable que pour relier deux royaumes par le mariage en lui assurant un héritier au trône. J'ai donc fuis Azskirin pour me lancer en quête de ma propre destinée, fuyant les traqueurs de mon père et sa colère en compagnie d'un mercenaire qui tiens parole une fois le gain donner. Il ne s'agissait là que de mon brave syvurge.
Je pris donc un ton plutôt autoritaire sur ce propos, le montrant que je me souciais de cette jeune femme à qui des horreurs devaient arriver tôt où tard. Je lui répliqua donc cela :
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Le livre des Mages elfes : Les aventures d'Algred Merlin.
FantasiaFuyant la vie désespérante et trop couronnée que lui offre son père, Algred espère voir le monde et découvrir de nouvelles choses en faissant la découverte de la réalité régissante de son monde ,sans que les livres ne l'apprenaient. Il ignore que s...