Le livre des Mages elfes : Les aventures d'Algred Merlin.

Dans les ténèbres : Partie 2

  Que dire....?!

La chaleur si écrasante de la peur, l'envie de fuir pour préserver le temps restant de mon existence où bien encore le manque de volonté me donnant le courage de tous les affronté ? Rien de celà, ni plus ni moins ne pouvant heurté ma sensibilité, ne parvenaient à se relier à ma bravoure. Je ne m'attendais pas, me dis-je, à remplacer le malheureux regretter syvurge à son poste.

Les yeux affamés de sang observaient mes moindres faits et gestes, n'osant m'attaquer pour une cause dont je ne pouvait en ignorer les raisons. Mais je savais en temps comme en heures que se geste ne resterais pas éternel. 

Les deux femmes étaient toutes à mes arrières, cachées derrière ma juste personne qui se dévoilait face aux orques. D'horribles monstres profitant de femmes, dévorant la chair des mâles et vivant dans d'obscures domaines où  se tapissent les terreurs sauvages de la nuit. Le mana encore me manquait, mais c'est pas la force du pouvoir intérieur qui fais un mage, c'est sa détermination à ce surpasser pour en atteindre les sommets.

Respirant de manière lente, la prudence gagna mon âme, isolant mes pensées douteuses de ma mémoire, gardant le sentiment d'observer le déroulement d'un fait futur par l'intermédiaire du fait présent. Ma chevelure d'or glissait, suivant le mouvement tranquille du courant d'air qui parcourait la grotte, allant de son entrée jusqu'au plus profonds tréfonds de son entre. Le Chef des orques  était déjà présent, observant nerveusement les événements sans interagir, en effet j'ai oublié  de vous dire une chose....

- Quand l'on remonte dans nos souvenirs, l'on m'aperçoit utilisé un sceau devoreur, c'est un sortilège ancien de ma famille. Ce sceau à pour effet de dévorer entièrement le mana  de quiconque s'en approche, sauf le créateur du sceau qui peut en tout temps le désactiver. J'ai installé le sceau, protégeant la frontière qui nous séparer des orques, il était là, tel un bouclier invisible qui nous protège du mal venant vers nous. Puis je l'ai combiné avec deux sortilèges, l'un manifesté de la télékinésie, me permettant de manipuler toutes créatures ne possédant point de mana, ordonnant à leur membres de se séparés, l'autre me donnait la possibilité de détruire mystiquement les corps une fois atteint de ma manipulation. C'était la défense parfaite. Au prix de rester immobile pendant quelques jours, c'est pourquoi je ne pouvait plus bouger, observant juste la scène sans pouvoir encore interagir avec le présent.

Bien que le mana circuler dans mon corps et que les réserves de celui des orques étaient transmises dans les miennes, les trois sceaux ne voulurent cesser les effets paralysant mes membres. Mais ne plus bouger n'était pas un problème pour moi, je me sentais bien de toute façon, la barrière devait tenir, et jusqu'à ce que même les orques s'en allaient, du moins je le pense....

La catlime eut le temps de s'en apercevoir, elle ne dit rien et me pris dans ses bras, trainant mon corps au plus profond dans la grotte sans dire un mot. Laissant là, les orques stupéfaits qui ne pouvaient que témoigner de leur haine et mépris par le regard, un regard noir que j'espère ne plus jamais recroiser à l'avenir.

Des jours, voir des mois se sont écouler sans que les orques ne viennent.....

J'étais encore paralyser , me nourissant de mon propre mana pour survivre, la catlime le savait très  bien, c'était un don que nous autres, les elfes du midi possédons. La femme chat au deux queues me regardait, ne pouvant cacher la peine qu'elle éprouvait à mon égard. Touchant à tout moment mon corps, espérant me revoir marcher.

L'autre femme nous avez quitté plus tôt, ce fut de la main de la catlime qu'elle à  trouver la mort. Voulons se nourrir, elle c'est attaquée à la femme chat aux deux queues, le résultat fut à sens unique et la victorieuse c'est mise à la dévorer, faisant d'elle son  plat de résistance.

La scène m'avait guère choquer, c'était dans la nature de sa race de dévorer la créature qu'ils ont tuer de leurs propres mains. Elle baissait lentement le visage, voulant me partager sa déception pour en être arrivé là.

Elle me traînait, encore et encore dans une destination inconnue, ses yeux et les miens pouvaient percevoir dans l'obscurité mais je suis loin d'atteindre son niveau de percevoir dans les ténèbres. Elle se hâta,  voyageant longuement dans les tréfonds de la grotte, à la recherche d'une sortie quelconque.

Je ne pouvais que me remettre à elle,  La femme chat avait d'une certaine façon déjà conquis ma confiance...