Le son de la clochette me tira de ma rêverie , j'enfila mon tablier par dessus ma robe noire de chez Thehooker,le bar de danseuses le plus populaire en ville. J'apportas la grande Margaritas à l'homme qui me regardais depuis le début de la soirée. J'arriva à la table.
-Merci ma chérie , tu es disponible ? Je te paierais très cher! Dit-il avec un sourire pervers.
-Désoler , mais je suis une serveuse pas une pute! Dis-je.
-J'ai toujours ce que je veux ,sachez le, je veux votre cul ,ce sera avec votre consentement ou non . Ajputa-t-il.
Je partis, ce n'était pas le premier client à me faire des avances , mes cheveux noirs plat , mes yeux verts et ma poitrine en attire de tout les âges surtout que la plupart d'entre eux m'on déjà vu dans le studio de danse où je donne des cours . Alors ils me "connaissent" tous. Je finit mon service et sortit par la porte arrière , je marcha vers la ruelle quand j'entendis soudainement une porte claquer. L'homme se dirigea vers moi ,le sourire mauvais. J'avais beau courir , je sentais sa présence oppressante, furieuse et violente. Ma robe m'empêchait de courir normalement , je commençait à prendre de l'avance quand j'atterris dans un cul-de-sac, je sentis sa présence.
-Salut mignonne! Tu t'échappe? Dit l'homme
- Je vous en prie .dis-je en larme, je ne dirait rien à la police ,mais par pitié ne faites pas de mal!
- Je ne te ferait pas mal , sauf si tu te débat ou si tu essais de t'enfuir , de toute façon, je t'avais averti que j'obtenais toujours ce que je voulais. Dit-il en détachant sa braguette.
Je vis une issue, en panique, je fonça vers l'espace vide entre lui et le mur. Mais il avait prévu le coup et me frappa de son poing à la colonne , puis il m'empoigna par les cheveux et me tira dans un coin. Je commença à hurler. Il me frappa la tête au mur de brique.
- Tu vas adorer chérie, me chuchotat-il .
- Je préfèrerais mourir des mains d'un vrai homme ,avec des couilles, connard .dis-je en m'étouffant dans mon propre sang.
Il me frappa à la tête , me bourra de coups de pieds et il me gifla .
-Je crois que je vais te tuer petite garce.dit-il avec un sourire qu'il devait faire à n'importe qui qu'il croisait dans la rue.
-Tu mérite de mourir salaud .dis-je en un étrange gargouillis
puis je l'entendis hurler à mort. Je partis d'un rire hystérique en me disant que j'allais mourir ici sans famille pour me pleurer ni amis. Ma tête commençait à me tourner, un liquide chaud vint toucher ma tête. Un rideau de noirceur envahit ma vue mais avant que je parte une silhouette noire se pencha puis plus rien.
