Une lueur d'espoir

une semaine en enfer (partie 1)

⚠️ce chapitre contient des vulgarités et de l'automutilation !

Moi:Voilà,  c'est terminer ton exos maintenant laisse moi tranquille et vas glander ailleur...

Enfin seul... je vais juste dessiner et mettre ma musique ... J'entamais quelque trait brouillons et me laisse emporter par l'esprit de dessin . Bon , encore de la merde mais je sais pas pourquoi j'adore ça ... Il fait nuit déjà ? La nuit tombe vite en se moment , il est quelle heure ? PUTAIN TROIS HEURE DU MATIN !!! Sa mè-(A NON ON AVAIT DIT PAS LES MAMAN CONNIE... desoler ;-;) ... je devrais aller dormir au lieu de glander. Je debranchais alors bobby(j'appelle beaucoup de mes objet bobby et la c'est ma lampe Ù-Ú)après avoir jeté mes affaires de dessin sur le sol(le respect, le respect-bon j'arrête vraiment). Je m'étirais quelque instant avant de m'allonger sous ma douce couche de textiles. Je me tournais, me retournais mais rien n'y faisait , je n'arrivais pas a m'endormir.  Fais chier, insomnie de merde ... je fixais ma table de chevet malgré la profondeur de la nuit et pris mon courage a deux mains... Quelque instant a peine s'etait écoulé et je me retrouvais le bras gauche dénuder et mon ciseau dans la main . D'une poigne tremblante,  j'appuyais le ciseau au creux de mon bras , assez fort pour laisser une marque mais pas assez pour me faire saigner,  je tirais un trais , puis deux , et sans m'en rendre compte, j'entrais soudain dans une sorte de transe , dans laquelle la douleur m'importait peut et je traçait les trait les plus profond et large dans mon bras. Mon chat me sortit enfin de cette phase durant laquelle, sans même m'en rendre compte , des larmes avaient perlée le long de mes yeux et avait coulée sur tout la longueur de mon visage . Je reposais mon "arme" et me replongeais
dans mon oreiller,  en pleurant . Je me sentais si fébrile, si lamentable ... Et avant que je ne puisse faire quoi que ça soit je plongeait dans les bras de Morphée. Quelque instant plus tard, je me réveillais en sursaut, le dos et le visage trempé d'un liquide produit par mon corp lui lui-même. Une soudaine nausée me prit et je dévalai les escalier en trombe .
Fait chier ...
Je remontais dans ma chambre après avoir attrapé un sac et une bouteille d'eau et me me réinstallais dans mon lit . La douleur dans mon abdomen me tordais dans tout les sens et je me levai trois fois dans cette nuit d'horreur,  courant dans la salle de bain me vider l'estomac.
Je venais de passer une nuit des plus difficiles et désagréable lorsqu'une alarme retentit dans la pièce ou je me trouvais .
Fais chier réveil de merde
Je me relevai et me sentie vacillé. Ma tête me martelait et mon ventre me faisait encore plus mal , je ressentais des frissons parcourir le long de mon dos . Je frissonai de froid alors que je mourrais de chaud et que je baignais dans la sueur dont mes vêtements c'etaient imprégnés. Ma mère me vit dessendre et me renvoya immédiatement me recoucher .
Une journée de rater mais putain , j'aurais préféré aller en cours avec l'autre casse couilles de prof principal. Le lendemain , je n'avait plus de fièvre et je tenais debout alors ma mère m'envoyas en cours .

Moi :Et bah putain,  j'avais jamais remarqué que la prof d'art pla etait si chiante
Noah:t'es sur que ça va aller toute la journée,  on en est q'a la première heure de cours et tu te plaint déjà... c'est pas dans tes habitudes...
Moi:t'inquiète je vais tenir le coup ...
Noah: mouais, je te tien a l'œil...

Le cours d'art plastique se terminais et  , heureusement,  le collège nous accordait le droit a une pause de dix minutes . Je me cramponnais a mon petit ami et me plaignit toute la pause . Lui, il me réconfortait en me faisant des calins et en me carressant la tête.
Arriva rapidement la pause de midi durant laquelle je faisait exprès de louper mon service . Lorsque Noah eu fini de manger, il me fit la moral et me mit une pichenette dans la tête mais cela ne me dérangeait pas plus que ça, c'est sa façon de me dire qu'il s'inquiète pour moi.

Moi: *a moitié endormi* mais dit moi c'est que t'es comfortable mon petit mignon
Noah: mais wesh t'es tarée,  il t'arrive quoi ma couille
Moi : putain je veut juste dormir ...

Keigo(mon copain si vous vous rappelez bien) nous ayant rejoint,  je profitais de mes oreiller et m'endormi quelque temp

Keigo : Lyna, faut qu'on parle .

Putain, sa put la merde ,il ma appeler Lyna ...

Noah : je vais vous laisser hein ...
Moi : o-okay ... a tout noah ...
Keigo : je... je crois qu'on devrait tout arrêter

Sa y est , mon pire cauchemar arriva... bon je vais garder le sourir pour l'instant ...

Moi : A-ah oui ? Pourquoi dont ?
Keigo : c'est beaucoup de petites choses en réalité mais je préfère qu'on arrête tout pour pas te blesser...

Pour pas me blesser mon cul ... t'a juste pas les couille de dire que je te plait pas ...

Moi : e-et genre quoi comme petites choses ?
Keigo : en premier , j'ai l'impression que tu me trompe avec noah ...
Moi : MAIS TU VAS PAS BIEN ?!
Keigo : ME GUEULE PAS DESSUS ! VOUS ÊTES TOUT LE TEMP FOURER ENSEMBLE ! TU VEUT QUE JE PENSE QUOI !?
Moi : putain ... c'est mon meilleur ami ...
Keigo : puis y'a aussi ton délire avec les lgbt+ la ça me casse les couilles ...
Moi : un délire... UN DÉLIRE !? T'A L'IMPRESSION QU'UN JOUR JE ME SUIS RÉVEILLÉ EN ME DISANT OOH MA MÈRE ET HOMOPHOBE ,J'AI PAS CONFIANCE EN MOI MAIS JE VAIS DÉCIDER DE SORTIR DE LA "NORME" !?
Keigo : TU ME PÈTES LES COUILLE DE TOUTE FAÇON , JE TE TROMPE
Moi: t-tu me trompe

A se moment la ,je me suis effondrée,. Je sentait que je partais alors je traçais mon meilleur sprint jusqu'au bout de la cour le plus isolé et pleurait toute les larmes de mon corps...
Avec se debut, je vais pas tenir toute la semaine ....