Drago × reader

Décision... et conséquences plaisantes

J'avais pris ma décision...

Ses mains plaquaient toujours les miennes contre les mur et d'un geste brusque je forçais pour atteindre ses lèvres, le baiser ne fut pas doux et calme comme le précédent, mais emprunt d'un désir torride, il me le rendit de bonne grâce, me repoussant contre le mur, mes mains toujours prisonnières des siennes. Cette il ne recula pas et pénétra ma bouche de sa langue, un frisson me parcourut quand il commença à tourner dans ma bouche, nos deux langues se mélangeaient, nous pressions nos lèvres l'un contre l'autre comme pour qu'il puisse aller plus loin et plus fort dans ma bouche, j'avais du mal a reprendre mon souffle, je tremblait de désir pour tout son corps. Il finit par sortir et me lécha le visage, m'embrassant par endroit, déssendant dans mon coup, il commença par m'enlever mon pull, mon tee-shirt, mon soutien gorges, il avait laché mes mains et je m'agripait à lui... il déssendit sa bouche jusqu'à mon sein et suçota mon téton, déjà dur, je gémis doucement et il continua pendant un moment. Quand il passa au second, je voulais encore bien plus, j'haletais:

-Plus... plus bas... plus vite...

Il m'enleva mon bas avec fougue, pressée d'arriver à l'endroit tant désiré, il m'arrache ma culotte avec les dents, ses mains remontant sur mes hanches et il titilla mon clitoris avec se langue, je poussais un gémissement plus fort, j'en voulais plus, encore plus, je voulais être totalement à lui... Il entra sa langue dans mon vagin, tournant, léchant, suçotant parfois, je poussais des gémissements de plaisir, je n'en pouvais plus, c'était bien plus bon que tout ce que j'avais imaginé. Mon plaisir semblait lui plaire, et il intensifia tout ce qu'il faisait, puis retirant sa langue il entra deux doigts dans mon vagin, je ne m'y attendais pas, et la sensation me surpris, c'était tellement bon, je m'agrippait au mur, mon corps se contorsionnait de plaisir et mes gémissements se muèrent en cris de plaisir...
Ce passage dura quelques temps, jusqu'à que je n'en peuve plus, il arrêta alors et remonta pour m'embrasser à nouveau, d'un baiser torride et sensuel, il se plaqua contre moi et je sentit son pénis dur sur ma peau, je glissait ma main vers son intimité et commençait à la caresser, sentant qu'il ne tiendrait pas longtemps debout, je le laissai s'assoir par terre, les jambes écartées, les mains derrière sont dos. Je commençais pas caresser doucement son pénis de mes mains puis je l'empoignait et commençait à effectuer des vas et viens, Drago gémis et je continuais, accélérant, puis, lâchant son organe, je le prenais en bouche, Drago tremblait de plaisir et il gémit à nouveau, complètement submergé, il s'agrippait au sol et poussait des cris rauques. Il délivra son sperm dans ma bouche en jouissant enfin, surprise, je l'avalais et me couchais à son côté, écoutant sa respiration. Il haletait, reprenant son souffle avec difficulté, puis il me regarda et me souris, il pris ma tête entre ses mains et m'embrassa, plus doucement que les fois d'avant, c'était un baiser d'amour, plus de désir, son baiser transmettait ses sentiments pour moi, et je le lui rendit fort bien...
Je me réveillai dans les bras de Drago, couchée sur un sol de de pierre, il était 3 heures du matin. Je le regardai dormir, son visage aux traits fins et à la peau pâle était paisible, plus que ça, il exprimait un bonheur intense. Je me plaçai au dessus de lui et l'embrassai doucement, mon regard croisa le sien quand il ouvrit les yeux, et je compris qu'il n'en avait pas finit avec moi, il me pris dans ses bras, me porta jusqu'à une table de laquelle il balança tous les objets qui s'y trouvait et il me posa délicatement dessus, le dos contre le bois. Il se mis a quatre pattes au dessus de mon corps nu et m'embrassa à nouveau, puis sans prévenir, il pénétra en moi, son pénis entra dans mon vagin, surprise, je poussais un cri, c'était plus bon encore que tout ce qu'il m'avait fait, il commença des vas et viens en moi, et mes jambes s'enroulèrent autour de sa taille, accentuant le mouvement. Nous gemirent et il prononca mon prénom en haletant, toujours plus fort, puis nous atteinrent l'extase ultime et nous jouîmes ensembles, à l'unisson.