The girl who was hidden | HARRY POTTER

Chapitre 2

Remus sortit la petite fille de sa cachette et elle se jeta à son cou, heureuse de le revoir, ne se doutant pas un seul instant que le corps sans vie de sa mère était étendu dans les escaliers. 

« Comment tu te sens ? 

-J'ai faim... Et je suis fatiguée. »

Il hocha la tête, évidemment, il ne savais pas combien de temps elle été rester la dedans à l'attendre, mais ça devais faire un moment. Plusieurs bruits de pas, deux personnes entrèrent dans la chambre, Remus se tourna vers la porte, toujours accroupis au sol, la petite fille dans les bras. 

« Professeur Dumbledore. Professeure McGonagall. 

-Monsieur Lupin... »

Un blanc s'installa entre les trois individus, Minerva observant la petite fille sur le point de s'endormir dans les bras de Remus. 

« Que faite vous ici ?, demanda enfin l'ancien élève de Poudlard. 

-Nous sommes venues voir ce qu'il c'était passer, et si la petite allez bien. »

Remus glissa un regard à Astrée qui venait de s'endormir contre lui. Il l'allongea dans ses bras avant de se relever, la serrant contre lui. 

« Marlène à eu le réflexe de la cachée dans l'armoire.

-Cette femme à toujours eu un très bon instinct., affirma Minerva. 

-Que va t-il ce passer maintenant ?, demanda Remus. »

Le ministre de la magie entra dans la pièce, suivis de près par Arthur Weasley. 

« Nous pensons qu'il est préférable, pour sa sécurité, de faire croire au monde qu'elle à été tuer, tout comme sa mère. 

-Quoi ?!, s'exclama Remus

-C'est la meilleure solution, Monsieur Lupin. Du moins, jusqu'à ce qu'elle soit plus âgée, et en sécurité. 

-Vous comptez prévenir son père, au moins ?!, demanda t-il

-Non. Nous allons annoncer officiellement que Marlène McKinnon et sa fille on été assassinées ce soir, dans leurs demeure. »

Dumbledore hocha la tête, comme si il avait compris le plan du ministre de la magie. 

« Quand Sirius viendras vous voir, Remus. Vous pourrez lui annoncer que sa fille est belle est bien en vie. Mais ça ne dois pas être rendu public pour l'instant. 

-Je... Je dois la prendre avec moi, alors ? 

-Vous ne vous en sentez pas capable, Monsieur Lupin ?, interrogea Minerva

-Bien sûr que si ! C'est ma filleule. 

-Si vous ne vous en sentez pas capable, je suis certain que les Weasley pourrons s'occuper d'elle, en attendant. Elle à le même âge que vos jumeaux, si je ne me trompe pas, Arthur ? , demanda Dumbledore 

-Oui, elle à le même âge que Fred et George. 

-Non. Je vais la prendre avec moi, merci. 

-Très bien. Nous allons vous laisser rassembler ses affaires, et passer par l'arrière de la maison, pour ne pas être vue par les journalistes de la gazette du sorcier. 

-Bien. »

Le ministre sortit de la pièce, il avait été si froid que Remus avait l'impression qu'il été confronter à ce genre de situation chaque jours et qu'il ne ressentait aucune émotions. Dumbledore salua l'ancien élève de Poudlard avant de s'en aller à son tour. Minerva s'approcha de Remus et de la petite fille, elle sourit. 

« Je sais que vous serrait capable de bien vous occuper d'elle. Vous allez vous en sortir, vous, cette petite et Monsieur Black. Je croit en vous, Monsieur Lupin.

-Merci professeure. »

Elle lui sourit et sortit de la pièce. Laissant Remus et Arthur seuls. 

« Besoin d'aide pour lui préparer des affaires ? 

-Je ne veux pas empiéter sur votre temps. 

-J'ai le temps pour ça, ne vous en faite pas. »

Remus allongea la petite fille dans son lit, avant de rassembler quelques affaires avec l'aide d'Arthur. 

« Je ne sais même pas quoi prendre... 

-Je vais vous aider, à la maison, c'est ma femme qui s'occupe de tout pour les enfants, mais je sais ce qui est indispensable. »

Il lança un sourire agréable à Remus avant de lui donner plusieurs chose à mettre dans un sac. Une fois celui-ci près, Lupin repris la petite fille toujours endormie dans ses bras, et, accompagné d'Arthur Weasley, se rendis à la porte arrière de la maison. Il remarqua, en descendants les escaliers, que le corps de Marlène avait été retiré.Avant qu'il ne franchisse le seuil de la maison, Arthur l'arrêta. 

« Vous savez, si jamais vous avez le moindre soucis, que ni vous ni Monsieur Black ne savait quoi faire avec la petite, si elle à des soucis de santé, ou peu importe, vous êtes les bien venues chez nous. 

-Pourquoi êtes vous si préventif ? 

-Parce que si il devais arriver la même chose à ma femme, j'aimerais que quelqu'un soit là pour moi. 

-Merci beaucoup, Arthur. 

-C'est normal. Soyez prudent, et n'oublier pas, notre porte est grande ouverte en cas de besoin. »

Remus lui sourit une dernière fois avant de repartir de son côté. 

De longue minutes plus tard, une fois arrivé dans son petit appartement, Remus alla déposer sa filleule dans son lit, déposant ses affaires dans un coin de la chambre, et s'allongea près d'elle, exténuer. Il l'observa dormir en souriant. Il n'y avait aucun doute, elle était bien la fille de Marlène et Sirius. Ses cheveux blond et ses long cils étaient identique à ceux de Marlène. Mais ses boucles, ses yeux gris et ce sourire espiègle étaient indéniablement ceux de Sirius. Il l'imaginait déjà plus grande, possédant la douceur et la gentillesse de sa mère, mais ayant le fort caractère et le sens de l'humour de son père. Il l'imaginait être un parfait mélange de ses deux parents, ce qui l'a rendais si unique. Et c'est sur ces pensées qu'il se laissa emporter par le sommeil, n'osant pas un seul instant imaginé la douleurs que ressentirait Sirius quand il allait apprendre par la gazette du sorcier, ou par n'importe qu'elle autre moyen que Marlène et leurs petite fille avaient perdu la vie ce soir.