Envie de vivre une histoire d'amour avec votre personne d'anime préféré ? C'est possible, lisez ce livre et découvrez l'histoire de certains personnages d'anime et vous. Plongez vous dans l'univers fictif du monde d'anime ! Le lecteur peut être masc...
Cet oscontient du spoil de l'épisode 8/9 (saison 1).
/!\ Scènes de meurtresexplicites mention de sang et de cadavres. /!\
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
-"[T/P], tu me promets que quand on sera grands on se ira en dehors des murs et on se mariera?" Demandit un jeune garçon aux yeux verts émeraudes.
-"Je te promets Eren! Rien de nous séparera je t'aimerai toute la vie!" Promit une jeune fille aux [L/C] cheveux [C/C].
PDV EREN
Elle m'avait promis. Elle m'avait promis qu'on resterait toujours ensemble. Qu'elle m'aimerait toujours. Qu'elle ne serait qu'à moi.
Et maintenant, elle discute avec l'autre tête de cheval.
Il avoue ses sentiments à MA [T/P]. Et moi je suis là, tapis dans l'ombre en train d'y assister.
[T/P]. Ma [T/P]. Elle est si magnifique. Si parfaite. Elle m'appartiendra. Je serai prêt à tout pour elle. Elle et ses beaux yeux [C/Y], ses doux cheveux [C/C], son sourire chaleureux et apaisant. Je ferai vraiment tout pour ne serait-ce qu'un regard, un sourire de sa part.
Je me souviens encore du jour où l'on s'est rencontrés. Le jour où elle a failli se faire kidnapper. Je devais rendre visite à la famille Ackerman avec mon père il disait qu'ils avaient aussi une fille de mon âge, Mikasa. Mais lorsque j'ouvris la porte, je vis simplement les corps des parents Ackerman en sang sur le sol. Au début, j'avais peur. Mais cette peur s'est vite transformée en quelque chose de bien plus plaisant.
Voir des personnes se vider de leur sang sur le sol, qui crient intérieurement à l'aide, espérant que quelqu'un vienne les sauver, pour qu'elles continuent leurs misérables vies. Voir ça m'a procuré un sentiment plutôt agréable. Ça me faisait même rire. J'ai toujours trouvé les humains pourri. Ne pensant qu'à eux et à leur plaisir personnel. Mais petit à petit, je suis devenu comme eux.
Puis je suis allé à l'étage et j'y ai retrouvé deux hommes, les kidnappeurs, Mikasa et [T/P]. Dès que je l'ai vue, j'ai su. J'ai su que c'était elle. J'ai tout de suite senti que c'était elle que je voulais à mes côtés pendant le restant de mes jours. Pour la sauver, j'ai tué un des hommes. C'était une des meilleures expériences de ma vie.
Voir de la détresse dans le regard de la victime, entendre ses derniers souffles, ses derniers mots. J'ai adoré ça. Cet homme faisait vraiment pitié à voir. Il essayait de m'intimider au début, mais maintenant le voilà me suppliant d'arrêter et de lui laisser la vie sauve.
L'autre homme, essayait de tuer les filles. Je criais à Mikasa de le tuer, car je ne connaissais pas encore le nom de celle que j'aimais. La brune a vite compris que pour survivre, pour obtenir ce qu'on voulait, il fallait être prêt à tout. Moi aussi je l'ai vite compris, c'est pourquoi je n'ai pas hésité une seconde à planter l'homme qui menaçait la fille que je voulais.
Et je ne comptais pas m'arrêter là. Des années plus tard, je tue encore pour elle. Pour l'avoir, rien qu'à moi. Récemment, plusieurs recrues ont disparues ou sont mortes. Les gens, plus particulièrement les membres du bataillon d'exploration, vivent dans la peur qu'un jour, ce soit leur corps qui soit retrouvé inerte. On a même fait une expédition extra-muros pour retrouver les disparus. Mais résultat beaucoup d'autres ont "mystérieusement" disparues elles aussi.
Ou plutôt, je les avait tuées. J'éprouvais le même sentiment que quand j'ai rencontré [T/P]. Ce sentiment d'adrénaline et de plaisir. Tuer pour obtenir ce que l'on veut, pour obtenir qui l'on veut, c'est le meilleur sentiment au monde.
Je veux qu'elle n'ai de yeux que pour moi. Qu'elle m'aime, qu'elle ne me parle qu'à moi. Je n'hésiterai pas une seconde à tuer quiconque se dresse entre elle et moi.
Et Jean n'y fera pas exception. Le tuer s'annonce plutôt amusant, lui que je détestais déjà avant qu'il ose s'approcher de ma [T/P]. Il ne va certainement pas y échapper.
Je réfléchis déjà à quelle méthode utiliser. Le frapper fort à l'arrière de la tête pour qu'il s'évanouisse, le jeter d'un haut bâtiment et faire croire à un suicide me semble être une bonne idée.
Ce ne serait pas vraiment surprenant, vu le monde dans lequel on vit un homme qui se suicide n'est pas rare. C'est vrai que vivre dans la peur, l'angoisse et la tristesse n'est pas très plaisant. Il a en plus perdu Marco, son seul vrai ami et s'est fait rembarré par la fille qu'il aime alors personne ne sera vraiment surpris.
Je mis alors mon plan à exécution. Et quelques heures plus tard, voyant que Jean ne s'était pas rendu au dinner, des gens commencèrent à s'inquiéter pendant que je riais intérieurement revoyant son corps en sang sur le sol.
Et après quelques jours, il a été retrouvé mort au pied d'un bâtiment. Voir les gens pleurer me faisait également rire. Sauf [T/P]. Je la regardais pleurer près du corps de Jean se disant que c'était de sa faute. Aurait-elle des remords de l'avoir rejeté? Elle l'aimait?
Pendant que je pensais ça je senti une tête pleurer sur mon épaule. Et je réalisais que [T/P] n'était à côté du corps inerte du châtain. Elle était à mes côtés, pleurant sur mon épaule.
-"T'inquiète pas [T/P], je suis là et je le seraitoujours pour toi." Lui disais-je d'une voix se voulant apaisante et rassurante.
-"Eren, j'ai peur qu'un jour ce soit toi. Je ne veux pas te perdre, je ne veux pas que tu meures..." Avoua la [C/C] entre deux sanglots.
Si seulement elle savait que cela était impossible. Que je suis l'auteur de ces meurtres.
-"Je te promets de rester en vie [T/P]." Affirmait-je en plongeant mes yeux dans les siens rougis par les pleurs.
-"Je t'aime Eren. Depuis que l'on est enfants, depuis que tu m'as sauvée. Alors je t'en supplie reste avec moi." Confia la jeune fille.
-"Moi aussi [T/P] je t'aime. Je t'aime tellement. Je resterai à tes côtés pour toujours je t'aime." Avouais-je à mon tour.
