Dear u

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« Ma très chère,

Cela fait combien de temps ? Tu me manque horriblement. Tes sourires à chaque instant, t'es blagues douteuses, ta bonne humeur, t'es doux yeux, ta voix qui me criait des encouragements même pendant nos longues nuits blanche à l'auberge de tante. Ce qui me manque le plus, ce sont tes étreintes et ta voix, je garde tout les jours les enregistrements de ta voix avec l'appareil étrange que le marchand de Fontaine nous avait donner. Ça me donne toujours le sourire de t'entendre même si, ce n'est que un enregistrement.
Tu sais ? Malgré que je vis bien, que je souris, que tante prend soin de moi, que j'ai même la visite de Fenua qui vient pour sculpter en ma compagnie. Je ne suis pas heureuse. Je m'en veux de ne pas l'être. Je veux que tu sois là, mais même toi, tu ne pourras pas m'aider dans mon problème. Et tu le sais. Je suis malade depuis... toujours. Je souffre horriblement de cette maladie qui me perce de toute part, les médicaments ne fonctionne rarement. Je n'en veux pas à Baishu ni à Qiqi.
Le problème est moi, et uniquement moi. Ça ne fait pas longtemps que j'ai refais une crise.. je sens mes muscles me brûler, mon cerveau prêt à exploser et j'ai l'impression que je saigne de l'œil. Cest toujours la même chose, la meme douleur, parfois plus forte et violente. Mais jamais plus douce et moins fréquente.
Je suis épuisée, épuisée de souffrir. Épuisée d'être irrité par les bruits qui me semblait agréable au tout début. Je suis épuisée d'être au bord de la mort à chaque fois que une de ces crises reviennent. Épuisée d'être seule, épuisée d'être moi.
Je t'aime de tout mon cœur et je sais que tu ne veux que mon bonheur, cependant.. mon œil et mon cerveau me font trop souffrir. Je n'en peux plus..
s'il te plaît, tiens ta promesse que tu m'avais faite quand nous étions petites, ok ? Si tu ne la tiens pas, gare à toi hehe

Je t'aime d'amour,

Guānga »

Petit dessin à la va vite ! En vrai

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Petit dessin à la va vite ! En vrai.. je me suis rendue compte en parlant avec des potes, que si on ne demande pas comment ils vont. Jamais, ils te diront d'eux même comment ils vont réellement. On a tous des blessures et des interdit a dire, et ça m'avais grave donner envie de dessiner Guanga sooo-

Artbook 2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant