L'amour impossible ne l'est que dans la vraie vie.

le manque est permanant

Sauve moi, Aide moi, tu le sais bien que tout s'effondre, et pourtant, tu en sais encore rien. Si c'était le cas, tu ne me regarderait même pas... Et moi je suis là à te crier de m'aider, de me soutenir, de me sourire. Fais quelque chose ou abandonne moi, mais si c'est dans cet abandon que tu me laisses, il ne faudra pas m'en vouloir de choisir la facilité. J'en ai marre, ou juste ça, c'est débile mais, si t'es plus là pour m'accrocher à de faux espoirs, des mots pleins de mensonges et de mutineries qui feront de mon avenir, l'enfer de mon passé?

Les appels à l'aides sont, depuis un moment, lancées et pourtant aucun retour, je ne vois rien d'autre qu'un simple détour. Ma déroute continue, qui s'éloigne et s'étire sur la durée d'une vie dénuée de sens et d'intérêts. Au final, je sers à rien, je suis là pour rien, je ne sais rien, je ne vois rien, je n'aime rien, je ne peux rien.... Je n'aime pas souffrir et pourtant, tu me diras que je l'ai choisis, j'ai caché, menti et démenti, j'ai détruit et regardé d'un aire passif. Bien évidement je n'ai rien oublié et pourtant mon esprits n'est qu'un amas de débris. trop faible et trop frêle pour supporter ces cauchemars, quand je ferme les yeux ils continuent à défiler tel un film impossible à arrêter. Il faudrait peut-être me tuer pour me soulager alors, je te demande de m'aider, toi seul connais la bonne solution.

Tu manques à mon coeur en permanence.

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Et si je t'avouais que j'ai désespère de ne plus te plaire? S,i nuit après nuit j'ai rêvé qu'encore une fois tu poses tes mains sur mon corps, qu'encore tes lèvres se mêlent aux miennes...? Et si je te disais que ça m'a fait mal et pas qu'à mon égo de te voir rester indifférent, te voir me regarder comme si j'étais une banale copine...Je n'y avait jamais pensé, pour moi c'était évident que je t'ai toujours plu, plus qu'une autre...Mais, j'avoue que ces temps j'ai douté, avais-je tords? Ce soir je crois que j'ai trouvé réponses à mes questions, à mes inquiétudes, à mes pertes de confiance... Ca commence toujours par des taquineries, tes mains qui me chatouillent, je t'ébouriffe les cheveux, et tu m'embêtes de plus belle. Et pour finir, l'un de nous deux cède... Ma bouche à touché la tienne et c'est comme si on ne s'était jamais arrêté, toujours aussi doux et intense, un baiser parmi beaucoup qui encore me font frémir. La sincérité de tes gestes,  tes doigts fermement accrocher à mes cheveux, ta main se promenant sur moi, la chaleur de ton odeur qui m'enveloppe. Je n'aurais jamais du douter de nous, je sais que je te plairais à jamais tout comme je te désir à chaque instant. Tu es mon unique comme je suis l'objet de tes rêveries, tu pourras multiplier les mots, essayer de te cacher, ton corps me parle de tout ce que tu me cache. Ce soir, je m'endormirais en sentant encore ton odeur, je revivrais chaque un de tes gestes aussi doux et intenses soient-ils. Encore une nuit ou je ne ferrais que rêver de ta présence.