UNE PASSION SANS RAISON ABIMÉE PAR LE TEMPS - RAVIVÉE PAR LES SENTIMENTS.

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Envie de tout lui avouer, juste tout balancer, simplement en parler, tout révéler. Mais je ne peux pas avoir recourt à ce discours! Pourquoi ne pas lui dire? Je n'ai pas envie d'en souffrir, pourtant le silence est plus douloureux que toutes ces difficultés. Fuir la vérité n'est qu'un simple gain de temps et, pourtant, mauvais vent ne s'accorde pas à sentiments. Cachés, oubliés ou révélés, ils ont chacun une probabilité de longues minutes, heures ou années emprisonnées, éprouvées et divisées.... Mal au coeur ou mal à la tête, parfois je me confonds entre réalité et rêves en tête...
Alors, je retourne la problématique, dans tout les sens sans en retrouver la réplique et la question tourne encore et encore, comment lui l'dire?
Et chaque matin je me résous d'une invention, puis fantasme, ou simple masque, entre rêve et cauchemars, je ne vois que ses bras m'entourant de ses pensées fantasques.
Après tout ce temps, je me retrouve seule à tous les temps. Passé, présent, tout se mélange et je nous, pendant une seconde, imagine encore ensemble. Un bien joli mot qui ne nous résume pas:  trop différents dans la ressemblance, aucune accordance possible entre toi et moi.
Encore en m'endormant, comme bien trop souvent, je retoucherais du bout de mes rêveries, un instant de cette autre vie.


Toujours envie de tout balancer, j'me fais une raison et me dit que rien ne serrait à partager. Seule et brisée je continuerais à errer...Chéri, ami ou amour inavoué de ma vie, emmène moi, enferme moi, tout contre toi, juste 24 heures, le temps d's'enivrer du bonheur. L'impossible je le transformerais en plausible , enlève moi, et adore moi, pendant quelques heures fais moi rêver, oublions le temps et le présent, le temps de se voir nous regarder....


J'ai rien pu oublier, c'est comme si en moi tu t'étais gravé, rien  a été effacé ou nié, ma raison me crie pourtant que j'vais devoir m'en obliger. Ce n'est pas juste un mauvais jour, ceci rime plutôt avec un amère toujours. Ces moments sont courts, trop vite dirigés vers le déchirement de ta présence. C'est après le passé qu'encore je cours. J'abandonnerais jamais, et c'est un mot qui malheureusement sonne trop vrai.
Je ne m'attends plus à te voir revenir, à me comprendre, à me croire... C'est dans ces triste nuits que je trainerais cette abominable peine. Je ne suis qu'une cause invoulue, pluie valu ou tempête éternelle, je ne sais ou me mettre pour que tu interviennes.


Mauvaise raisons, et contradictoires sentiments font qu'encore tu disparais en me laissant seule fasse à cette nouvelle plaie. Chaque départ ne cache pas le hasard, mais une blessure de plus en plus profonde. Je recommence à tourner en rond, chaque départ, seule sans toi enfermée un peu plus dans mon monde. Face à la souffrance de cette infinie distance, ce n'est que du bout du doigt que je touche mes souvenirs de toi. 

Je ferme les yeux et je pleurs, pleurs de cette silencieuse douleur insoutenable, inlassablement je me retrouve devant la lame, pourra-t-elle refermée cette blessures que je transcris sur chaqu'un des mes murs? Pourra-t-elle me soulager rien qu'un instant de cet insoutenable présent? Je souffre de toi, j'ai le mal de toi, le mal de l'abscence, j'le vie bien en apparence mais ,au fond encore mon âme saigne de la tienne. Encore une fois t'es partie, et moi j'ai rien compris, un aller simple pour me blesser, inlassablement de tous ces instants partagés. Je ne peux me résoudre à ne jamais te revoir, je me regarde dans ce miroir, et essaye de m'accrocher à ce stupide espoir d'encore te voir. Sauve moi ou tue moi, mais ne me laisse pas. Seule, c'est contre moi que je combat, ce rêve d'encore me faire mal pour oublier qu'il est incurable. Ton souvenir me hante, et tu me manques. Un peu comme mon double ou ma moitié, de toi je ne dois pas être séparée. Tu as guidé chacun de mes petits pas, sans ta voix, je m'égare, mon coeur en subissant les ravages. Loins du rivage, je murmure cette image. Je relis ces passages et ne peux tourner la page. Besoin de toi vitale ou simple cavale, il faut que tu m'aides pour qu'encore un peu plus je t'aime... Meilleurs amis, ou amours d'une vie, le principale c'est d'être deux à jamais dans tes yeux.

Je ne rêve que d'un son, une raison, une approche, une reproche, ton odeur, mon erreur, à jamais mon unique bonheur.

L'amour impossible ne l'est que dans la vraie vie.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant