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J'aurais voulu que tu restes auprès de moi jusqu'à ce que la mort m'emporte car vivre sans toi me tue de l'intérieur. Désormais ce ne sont plus tes bisous le soir qui me berce, ce sont les larmes qui coulent depuis que tu es parti, je suis comme perdu, bouleversé, abimé et détruite par ta mort.
Cette absence à vie que jamais je ne pourrais combler. Je pense à toi et je regarde nos photos depuis que tu n'es plus là, je suis tête en l'air parce que j'attends qu'un signe de toi de l'au-delà. Je regarde les étoiles en espérant t'y retrouver, mon coeur se serre, ton image résonne, mes yeux piquent.
Je pense à toi et je pleure.
Comment décrire le désespoir, le manque intense d'une personne ?
Comment te décrire réellement alors que dans mes souvenirs tu sembles si loin, pourtant je revis sans cesse le jour de ta mort comme ci c'était hier.
Mon coeur bat vite quand je pense à toi, quand je parle de toi. Je ne t'oublierai jamais, tout me ramène à toi.
À toi qui m'a porté neuf mois,
À toi qui m'a donné la vie,
À toi qui m'a éduqué et élevé,
À toi qui m'a bercé,
À toi qui m'a donné l'amour de toute une vie,
À toi cette femme,
À toi et celle que j'appellerais toute ma vie « maman »𝑅𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠
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𝑅𝑖𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠
Poezja𝗖𝗲𝗰𝗶 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝘂𝗻𝗲 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲. 𝗡𝗶 𝘂𝗻 𝗿𝗼𝗺𝗮𝗻. 𝗝𝘂𝘀𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗲 𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗶 𝗱'𝘂𝗻𝗲 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻𝗼𝘀𝘁𝗮𝗹𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲. 𝗕𝗶𝗲𝗻𝘃𝗲𝗻𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗼𝗻 𝗰𝗲𝗿𝘃𝗲𝗮𝘂. 🧠