Essays for school

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Devoir Finale

Nous étudions un extrait de la première partie, livre cinquième, chapitre 10 du roman Les Misérables écrit par Victor Hugo en 1863.Dans cet extrait étudié on suit Fantine qui est une couturière modeste à domicile. Elle rencontre plusieures difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette qu'elle avait confiée au Thénardiers, un couple malhonnêtes et rusé. Les Thénardiers disent à Fantine que Cosette a une terrible maladie et qu'elle doit les payer, mais cela est un mensonge qu'ils disent pour qu'elle les pays. Fantine n'a pas les moyens de les payer, elle a donc recours à différents moyens pour les payer, comme travailler des heures extrêmement longues et s'arracher et vendre ses propres dents. Comment Victor Hugo montre la desperation de Fantine pour sauver sa fille, quels sont les actes qu'elle fait pour s'assurer que sa fille est en sécurité et en bonne santé et quels sont les moyens qu'il utilise pour montrer la dévotion et amour maternelle que tient Fantine pour son enfant Cosette? Nous expliquerons les moyens que Fantine a utilisés pour protéger son enfant avec des exemples et les difficultés qu'elle endure juste pour quelques pièces d'or qu'elle envoie chez les Thénardiers. Nous observons comment Fantine se dégrade son propre personnage, puis ses conditions de vie de Fantine qu'elle continue de subir pour pour le bien être de son enfant.

Premièrement Fantine subit une dégradation de son personnage principal à la fois physique et morale. Dans le début de l'extrait Fantine est décrit comme ayant vieilli depuis la vieille. Fantine est introduite dans l'extrait avec une autre personnage, Marguerite. Fantine l'a montre ses deux napoléons, qui est décrit comme "une fortune". Marguerit est choqué de voir ces pièces d'or et demande à Fantine d'où elle les a eu. Fantine lui répond simplement " Je les ai eus". En se moment son visage est éclairé par une chandelier et Marguerite peut voir l'horreur de son visage. "La chandelle éclairait son visage. C'était un sourire sanglant. Une salive rougeâtre lui souillait le coin des lèvres, et elle avait un trou noir dans la bouche.

Les deux dents étaient arrachées." (L. je n'ai pas les lignes ecrites sur le texte) Fantine avait arraché ses propres dents pour les vendres, et on sait qu'elle la fait très récemment car elle a toujours la "salive rougeâtre" sur ses lèvres. Son corps subit des abuse pour l'argent de plusieurs façons.

Non seulement Fantine a arraché ses propres dents mais elle a utilisé d'autres moyens pour obtenir plus d'argent. Elle vend aussi son corps aux hommes. Fantine travaillait dix-sept heures par jour mais même avec cela elle n'était pas assez payée pour voir les demandes des Thénardiers qui demandaient cent francs immédiatement sinon ils mettraient Cosette à la porte toute convalescente de sa maladie, par le froid. Fantine ne reçoit pas assez d'argent par son boulot mais il y a une autre façon. Elle devient une fille publique, qu'il veut dire qu'elle se prostitue. "Cent francs, songea Fantine ! Mais où y a-t-il un étatà gagner cent sous par jour ?" (L.39) et "L'infortunée se fit fille publique." (L.41). Elle n'a plus d'autres moyens pour sauver sa fille donc elle se dégrade son personnage pour protéger son enfant.

On peut aussi observer l'état de vie de Fantine qu'elle subit pour sa fille. Elle pense qu'elle est victorieuse, elle a fait ce qu'elle devait faire et elle a finalement envoyé ses cent francs à Montfermeil. Mais l'état de sa vie est plus ou moins détruit. La dévotion de Fantine est une énorme aspect de sa situation de vie. Elle fera tout pour pour sa fille, même si ce qu'elle doit faire mènera à sa propre destruction. Fantine, après avoir utilisé son corps pour l'argent et sa santé est laissée avec plus rien. "Allons ! dit-elle, vendons le reste." (L.40). Fantine est déjà dans des situations économiques difficiles. Elle n'a plus beaucoup à offrir mais elle abandonne aussi ses possessions, tout ce qu'elle possède pour les vendres ce qui rend son lieu de vie plus misérable qu'il était avant. Cette chambre est décrite comme "galetas" (L.14) et comme "cellule" (L.13) qui sont des mots très péjoratifs pour décrire un lieu de vie.

En conclusion L'auteur montre la desperation de fantine pour protéger sa fille. Il montre son amour maternelle par rapport aux efforts qu'elle fera pour aider son enfant malade. Fantine travaille pour ce qui semble pour une éternité, dans des conditions difficiles et finalement tous ses efforts sont perdus. Les cent francs qu'elle a envoyés au Thénardiers finalement n'étaient pas pour Cosette mais ont étaient gâchés sur ses personnages laids et rusés. Les travaux ne sont jamais finis jusqu'à sa mort, elle n'a pas le temps de se reposer comme un personnage dans la mythologie grec Sisyphus. Il travaille et travaillera pendant le reste de l'éternité et tous ses travaux, finalement ne seront pour rien. Fantine essaye de protéger son enfant par différents moyens et subit sa situation pour le bien de sa fille.