L'évasion

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Ce matin là, je courais sans but, pour échapper à deux hommes, les gouttes fraîche de la rosé du matin, se déposaient sur ma cape et mes jambes. Le calme pesait sur la forêt vers laquelle je me dirigeais, me retournant régulièrement pour getter les deux hommes qui me suivaient toujours. L'un des deux hommes était plus fin et maigre, les joues creusé et le tain grisâtre, l'autre au contraire, était plutôt costaud avec des joues bien rosie, ce qui prouvaient qu'il ne mourrait pas de faim contrairement à l'autre qui pourtant mangeait à sa guise.

 L'un des deux hommes était plus fin et maigre, les joues creusé et le tain grisâtre, l'autre au contraire, était plutôt costaud avec des joues bien rosie, ce qui prouvaient qu'il ne mourrait pas de faim contrairement à l'autre qui pourtant mangea...

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En voyant la forêt non loin de moi, je me mis à courir de plus belle malgré la fatigue. Arriver dans la forêt je vis un arbre très haut et majestueux qui déployait ses longues branches couvertes de belles feuilles vertes, cela montrait que le printemps était arrivé, malgré cela il faisait encore froid et l'air était humide. Une idée me vint alors, je m'accrocha à l'une des branches pour me soulever et m'accrocher de plus belle à celles qui se trouvaient au dessus, je m'écorcha à plusieurs reprise mais je n'en prêtais aucune attention. Arriver enfin en haut de l'arbre et bien cachée part son feuillage, je m'assois sur une branche. Quelques seconde après les deux hommes s'arrêtent sous l'arbre ou je me situais, je les entend, et avec une boule au ventre intense, je mis mes mains sur ma bouche pour ne pas qu'il m'entendent. Le cœur qui bas si fort j'essayais de faire le moins de bruit possible.

- Ou est-elle ?! Dit le plus costaud des deux en poussant un grognement sur son collège, comme si cela était entièrement sa faute.

- Je ne sais pas !!

- Le maître va nous tuer si nous ne la retrouvons pas rapidement !

Ne pouvant contenir sa colère l'un des deux hommes se mit à frapper un grand coup dans l'arbre ou j'étais perchée. Je n'ai pas pu voir qui avait frappé l'arbre mais vu la force avec laquelle l'arbre a bougé je me doutais bien que c'était le plus costaud et le plus âgé qui avait donner ce coup. Par peur et pour ne pas tomber j'avais enlevée les mains de la bouche pour me tenir, mais par surprise je fis un petit cris, comprenant ce que je venais de faire je remis rapidement les mains sur la bouche et ferma les yeux part peur qu'ils m'ai entendu.

- Tu as entendu !? Dit tout à coup le plus jeune. Suite à cela il essaya de regarder en haut de mon arbre.

- Non je n'ai rien entendu.

Les deux hommes se mirent à regarder vers ma position. Je pensais à ce moment la que j'étais repérée et fichu, je tremblais autant que si je venais de tomber dans un lac geler.

- Tu as dû entendre un oiseau !! Allons y ou elle sera beaucoup trop loin pour que nous le retrouvions. Dit le plus vieux en grognant.

- Oui

Ils partirent alors sans insister.

De l'ombre à la lumièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant