La Chasse de Osore

chapitre : 17

Après les actes de Monsuta, la police a redoublé d'effort et la pauvre femme ne pouvait même plus garder sa vraie forme ce qui l'a fatiguait.

Elle n'était pas capable de faire durée aussi longtemps son alter pour garder la forme de Osore indéfiniment.
Parfois quelques "bug" pouvaient survenir comme des oreilles, quelques poils ou des mèches
rouges mais s'était des parties minimes donc elle pouvait facilement les cacher.

Elle devenait de plus en plus stressée, les jours passent et les informations ne parlent que de ça...

"La mort du héro de feu"

"Endeavor vient de rendre l'âme"

"Le numéro deux vient de tomber"

Que des titres de ce genre pour attiser le regard des gens.
Osore ne savait pas que Shota savait tous.

Mais pourquoi ce héro ne disait rien ? Le commissariat n'est pas très loin pourtant...
Mais non, en ce moment il est avec sa classe et faisait comme d'habitude surveiller la classe silencieusement.

Il ne faut pas croire qu'il ne va rien faire.

En fin de journée les élèves étaient plutôt silencieux, surtout la seconde A, l'un des élèves n'avais pas vraiment le moral.

Osore le fixa un moment, le regardant s'éloigner dans les couloirs.

"Ah...t'en pis, ton père était délicieux si celà peut te remonter le moral..."

Cette pensée la fit sourire malicieusement.

Shota : Osore.

Osore : tu m'appelles...? C'est nouveau.

Shota : tiens.

Un morceau de papier se trouvait tenu entre les doigts de Monsieur Aizawa.
Elle le prit sans réfléchir.

Shota : c'est mon adresse, rendez vous ce soir, 19h.

Et il part comme ça.

"C'est clair ce type à une idée derrière la tête."

Soudainement Osore couru et dépassa Shota et le reste des élèves avant de s'engouffrer dans les ruelles.
Son corps ne tien plus et elle reprit sa forme réel.

Monsuta : je suis épuisée..

Même plus assez d'énergie pour cacher ses neuf queues de renard et ses quelques poils sur les bras.

"J'ai même mes oreilles ? Le truc le plus facile et moins fatigant à cacher ..!!! C'est une calamité et ce shota qui veut que je débarque chez lui."

Monsuta était essoufflée et dans quelques heures elle allait devoir recommencer pour ce Aizawa.

"Et d'ailleurs pourquoi j'y vais ?"

Elle n'y était pas obligée mais pourtant sa curiosité venait de prendre le dessus.
Après avoir dormit le temps Nécessaire elle reprit avec fatigue sa forme Osore cachant bien sur le reste de son corps.

"Si je survis à cette soirée je pourrais être fier de moi."

Et elle part, sa destination l'adresse donnée par son collègue.
Une fois arrivée Osore vit un bâtiment délabré.

"Ah...le petit malin crois m'avoir avec une fausse adresse."

Aizawa : te voilà.

La jeune femme fut surprise de le voir, croyant à un piège.

Osore : tu vis ici ?

Aizawa : non.
Tu croyais en plus que j'allais de tonner mon adresse...?

"Oui...-_-"

Aizawa : je sais tout.

Osore : a-ah bon ?

Aizawa : oui j'ai eu des doutes au début mais les poils blanc sur tos bureau, le fait que tu portes un bandeau du jour au lendemain.

Osore : bon crache le morceau.

Aizawa : C'est toi le monstre qui a attaqué Hizashi et tué Endeavor.

Osore ne pu rien dire.

"Merde."

Aizawa : reprend ta forme tout de suite ça ne sert plus à rien de te cacher.
La police n'a jamais reçu leur test ADN il a été "perdue".
Tu as tuée là Vrai Osore pour prendre sa place aussi.

Osore reprit sa forme reel Avant de laisser continuer le héro.

"C'est ma dernière chance de le tuer..."

Monsuta : appelle moi le monstre je m'en fiche royalement,
Depuis le temps ça ne me fait plus rien.

Aizawa : pourquoi tu aides Hitoshi ?
Quelle est ton vrai nom ?
Et surtout pourquoi viens-tu dans notre établissement..?

"Wow...lui il perd pas de temps, en plus il fait peur avec son air blasé en permanence.."

Monsuta : quoi ? Va plutôt me dénoncer à la police ! Tu perds du temps là.

Aizawa : je suis pas venu seul.

Le sang de notre "héroïne" ne dit qu'un tour.

"Pas venu seul...? Ma carrière heu mon plan est foutue..."

À ce moment précis, Monsuta venait d'abandonner.
Elle n'avait jamais prévu ce cas de figure là, d'habitude c'est elle qui tire les ficelles du jeux.

"C'est peine perdu alors..."