La Chasse de Osore

Chapitre 18

Monsuta : sache que tu n'auras jamais mon nom.
Amuse toi a chercher si tu veux.

Aizawa : je ne suis pas ici pour jouer.

Monsuta : moi non plus, j'abandonne.
J'ai déjà eu affaire à plusieurs de tes camarades en même temps, je peux pas le faire deux fois en ce moment..

"Je suis crevée...j'ai utilisée toute mon énergie pour cette transformation !"

Aizawa : ne t'inquiètes pas en prison tu vas être bien.

Les bandes du professeur capture la jeune femme qui se laissa faire...

Aizawa : et aussi, je suis venu seul... s'était du flan ce que j'ai dit.

"Quoi !?? Quelle sale petit...!"

Monsuta : tu voulais me faire peur !!!? Espèce de sale morveux !!

"J'ai connu mieux comme insulte.."

Comme ils n'étaient que deux le renarde se transforma en une immense bête, sa forme Gumiho venait d'arriver.

Le professeur recula au cas où la bête venait à frapper..mais rien.

"J'ai encore toute ma tête !"

Shota était tellement proche de l'animal qu'il pu aisément remarquer les blessures et le manque de poils à certains endroits.

Aizawa : tu perds en splendeur avec ce genre de balafre...

Monsuta : j'aurais jamais eu tout ça si certaines personnes pouvait comprendre.. mais les humains sont stupide.

La colère commençait à prendre Monsuta de haut, elle perdait peux à peux son esprit dans la bête colérique.

Aizawa : tu ne contrôle pas ton alter, à ton âge !

Monsuta : toi...tu est comme tout les autres, tu vas mourir comme la torche humaine.

D'un saut la bête voulut croquer le cou de son collègue qui esquiva facilement avant d'atterrir sur le dos de notre bête.

À partir delà un rodéo commença.
Comme s'était l'animal qui donnait les ordres elle fonce sur tout les murs possible, espérant que sa proie tombe.

Quant à lui, Aizawa était bien accroché avec ses bandes autour du cou de Monsuta.
Ces dernières n'arrêtaient pas de frotter contre le cou du renard ce qui le fit gémir de douleur.

Aizawa : les brûlures sur ton cou sont encore douloureuse...
Ça tombe bien.

Grace à cette technique il arriva à controller la bête, lui dire où aller comme par exemple le mur d'un bâtiment à pleine vitesse.

Et en moins de temps qu'il en faut pour le dire Monsuta était à terre reprenant doucement sa forme humaine, gardant les queues , oreilles et poils sur le corps.

Aizawa : je m'attendais à mieux d'une personne qui à tendue un piège à Hizashi.

La jeune femme tremblait de peur, au sol, son corps refusait de bouger.

Aizawa : maintenant je comprends pourquoi tu tue... ce n'est pas de ta faute.

Les émotions de Monsuta se calmèrent d'un coup pour laisser place à la surprise.

Aizawa : tu ne contrôle pas du tout ton alter.
Normalement tu apprend ça en étant jeune non ?
Avec la famille.

"Il se moque encore de moi ?! Je vais me le faire... mais, mes jambes...
j'ai mal à la tête !"

Aizawa : devant un tribunal je pense que ça passe.

"Oh alors lui...! "

Monsuta : je compte pas aller jusque là...mes parents n'avait pas le même alter que moi.
Même pas mes grands parents.

Aizawa : une mutation d'alter..
C'est rare mais ça arrive.

Monsuta : s'était très Legé alors...
mon père peut devenir un petit renard et puis me voici..

Après avoir soufflée un peu la jeune Monsuta s'assis au sol devant Shota qui est accroupi.

Aizawa : tu en as tuée des gens...tu vas terminer en prison, mais si c'est toi qui ne contrôle pas ton alter, je pense que tu vas terminer dans un institut ou je sais pas quelle autre organisation.

Monsuta : hors de question.

Aizawa : j'ai pas dit que j'allais te dénoncer..
Hitoshi à confiance en toi donc pour moi tout n'est pas perdu.

La pauvre femme qui avait une habitude craintif quand elle reçoit de l'aide, sembla suprise.
Un Héro qui aide une meurtrière à s'en sortir.

Aizawa : à une seule condition.

Monsuta : hein ?

Aizawa : tu oublies tous tes projets de meurtre.

Comme si s'était facile.

Monsuta : heu...

Aizawa : la première étape pour contrôler ton alter est de ne plus écouter cet instinct qui te ronge.

Monsuta : wow...stop ! J'ai du mal à avaler que toi, Eraser head , professeur principal d'une classe de futurs héros , veuille aider une meurtrière comme moi.

Aizawa : un héro aide toutes les personnes qui en ont besoin, y compris les criminels qui font ça par dépit.
C'est pas forcément les innocents qui ont besoin d'un coup de main.

"J'ai pas confiance en ce type...il me laisse reprendre mon travail avec Osore comme ça ? "

Aizawa : et tu vas devoir dire la vérité à Nezu.
J'irais le preparer demain, matin bien sûr.

"C'est encore pire...la voici la mouche dans la tasse de café."